Sur les pas des gens d'ici (4 jours)
Au dessus de Dourbies
Au dessus de Dourbies - Béatrice Galzin
Lanuéjols

Sur les pas des gens d'ici (4 jours)

Agriculture et élevage
Architecture et village
Causses et Cévennes / UNESCO
Eau et géologie
Faune et flore
Histoire et culture
Milieu naturel
Transports en commun
Embarquer cet élément afin d'y avoir accès hors connexion
Un voyage sans voiture… La traversée du massif de l’Aigoual avec son sac à dos pour vivre une aventure unique. Petits châteaux, belles demeures dans les bourgs, l’église de Dourbies, observatoire de l’Aigoual, falaises et gorges profondes. Tout sera émerveillement, je vous le promets…
Un parcours de 50 km dans un paysage dessiné, façonné par l’homme depuis des temps très lointains. Un hameau par ici, un village par là… ces petites vies qui racontent les petites histoires locales, des mines creusées par des étrangers, des murets bâtis jusqu’en haut de la montagne, des routes construites dans des lieux escarpés…
4 jours pour s’imprégner des lieux et vous donner un souffle nouveau…

Les 50 patrimoines à découvrir

  • Montjardin, le hameau
    Montjardin, le hameau - Béatrice Galzin
    Histoire

    Le hameau de Montjardin

    Le sous-sol est ici plein de minerais de toutes sortes qui furent exploités à diverses époques mais jamais les filons  n’ont été abondants au point de pérenniser leur exploitation.
    Le village et les alentours de Montjardin ont vécu épisodiquement au rythme des mines de plomb, de zinc, de cuivre pyriteux et d'argent. En 1778, un berger découvre un filon d'argent à Montjardin. Il est exploité quelques temps puis abandonné. En 1908, la société minière et métallurgique de Villemagne rouvre l'exploitation, en même temps que d'autres, dans tout secteur. La galerie de Montjardin est longue de 450 m. C'est une période active et plus de 400 mineurs sont alors employés sur l'ensemble de la concession. Elle ferme définitivement en 1932 et le village des mineurs, près de Montjardin, est aujourd'hui un centre de vacances.
  • La barre rocheuse
    La barre rocheuse - Michel Monnot
    Géologie

    Le Trévezel

    Vous êtes sur la bordure ouest du massif de l'Aigoual dont on aperçoit les vastes pentes boisées. En regardant vers le sud-ouest, vous vous trouvez face à une zone de contact géologique entre le plateau calcaire du causse Noir et le massif granitique du Suquet. Entre les deux on peut voir la profonde rainure formée par les eaux vives du Trévezel. Un petit causse, installé au pied du Suquet, loge le hameau de Comeiras dont parle le roman "La caverne des pestiférés" de Jean Carrière.
  • Le château
    Le château - Béatrice Galzin
    Histoire

    Espinassous et son château

    Voici le plateau d'Espinassous et son château datant du XVe siècle. Il n'a plus qu'une seule tour car la seconde à fait comme l'âne, elle aurait roulé dans le ravin au bord duquel elle se dressait.
    La cour du château est magnifique avec ses anciennes dépendances agricoles que l'on voit à travers le portail, du bord du chemin. Ces bâtiments sont caractéristiques de l’architecture caussenarde : lourdes toitures de lauzes calcaire, façades flanquées de contreforts, ouvertures étroites, réalisées dans les voûtes en berceau brisé.
    Le hameau se trouve dans une plaine agricole en bordure de falaise.
  • La place du village
    La place du village - Béatrice Galzin
    Histoire

    Trèves

    Du Chasséen (Baume Lairoux, la Verrière....), Tabrî, le "village près de l'eau", Ibère, passage commercial entre Gabales et la Côte avec les Volques Arécomiques, orné d'un pont en bois par les Romains, occupé par les Wisigoths ariens, puis les Francs nicéens, est détruit par les Musulmans vers 730. Renaissance Carolingienne avec le pont roman puis fidélité aux rois de France qui lui vaut sa charte consulaire du XIVe siècle et la cloche sur l'église restée catholique. Trèves a des chènevières au XVIIe siècle où les toiles de chanvre alimentent les draperies de Lodève. Sa fromagerie de bleus de brebis, sa mine de plomb argentifère et ses faïsses d'amandiers et de lentilles appartiennent au passé. Reste le Pétassou. (M MOULINIER, historien)
  • Trèves
    Trèves - nathalie.thomas
    Histoire

    Trèves

    La place était un cimetière antique. Trèves viendrait du gaulois trebo, village pour certains, déesse des eaux celtique pour d'autres. Ou peut-être de trivium qui signifiait carrefour... C'est d'ailleurs une voie antique importante qui passe sur le pont roman du Trévezel, restauré au XVIIIe siècle. Une autre hypothèse est possible si on se réfère au dictionnaire de Boissier de Sauvages (1820), pour qui Treva ou Trebo définit en occitan les revenants et les fantômes. Vous serez peut être tentés par cette version, quand vous connaîtrez l'histoire de la grotte du Pas de Joulié décrite plus loin !  (B. Mathieu)

  • Buis
    Buis - © Nathalie Thomas
    Savoir-faire

    Le buis (Buxus)

    Le buis et l'homme, une histoire relationnelle ! Avec l'amplification de l'élevage, la chênaie primitive s'ouvre et le buis s'installe partout, résistant à la dent du mouton. L'homme lui découvre une qualité majeure: fragmenté avant d'être épandu sur la terre, cette litière protège les plants potagers de la sécheresse et du gel. Ses feuilles suppléent à l'insuffisance de paille pour l'engrais des terres labourables. En 1818, un arrêté préfectoral gardois s'inquiète du défrichement abusif de la buxaie et de son arrachage désordonné, sans outil adéquat. On rencontre des mules chargées d'énormes fagots, jusque vers 1910, quand la chimie prend le relais... (B. Mathieu)

  • © Valère Marsaudon
    Géologie

    Géologie à ciel ouvert

    Pendant l'ère primaire, se sont formés granites et schistes, qui constituent le socle des Cévennes et des Causses. Ce socle aplani par l'érosion fut recouvert par une mer où se sont accumulés, des sédiments calcaires. Sur les reliefs, l'érosion a provoqué l'élimination de la couverture sédimentaire alors que sur des zones affaissées, comme les Causses, les dépôts calcaires se sont maintenus. Depuis, les cours d'eau ont entaillé le calcaire toujours plus profondément et ce creusement se poursuit encore de nos jours.
  • Anémone pulsatille
    Anémone pulsatille - © Olivier Prohin
    Milieu naturel

    Une pelouse calcaire

    Cette pelouse de petite dimension est l’un des rares milieux ouverts sur le causse de Canayère. Elle présente un intérêt pour la conservation de certaines fleurs, en particulier l’anémone pulsatille et plusieurs espèces d’orchidées. Pour limiter la dynamique naturelle de fermeture des milieux, un entretien par fauchage est régulièrement effectué.
  • © Fonds Flahault
    Histoire

    Espruniers

    Ce hameau qui comportait un ensemble conséquent de maisons, a été habité jusque vers 1930. Le lieu sur lequel vous êtes arrêtés était probablement une aire de battage des céréales.
  • Vue sur le Lingas
    Vue sur le Lingas - nathalie.thomas
    Paysage

    Les gorges de Dourbies

    Le sentier débouche sur les gorges de la Dourbies. Face à vous, la partie occidentale du haut plateau granitique du Lingas rejoint à droite le causse du Larzac, calcaire. Vous apercevez sur la droite, le dôme granitique du Saint-Guiral. Plus près de vous, dans les vallons qui convergent vers la Dourbies, s'étagent les emplacements des anciennes cultures en terrasses, les pâturages, le village implanté en bordure de rivière, dans la partie évasée de la vallée, et enfin la châtaigneraie. Vous pouvez observez sa limite supérieur de répartition qui correspond à sa limite altitudinale de zone (800 m).
  • Faune

    La Dourbie

    La Dourbie prend sa source dans le massif du Lingas au sud du mont Aigoual, à 1 301 m d'altitude. Elle coule globalement de l'est vers l'ouest, puis borde le causse du Larzac (au sud-ouest) qu'elle sépare du causse Noir (au nord-est). Elle conflue dans la rivière Tarn rive gauche à Millau (Aveyron), à 357 m d'altitude.
  • Vue sur Dourbies
    Vue sur Dourbies - nathalie.thomas
    Histoire

    Dourbies

    Le village de Dourbies a été édifié sur une crête afin d'utiliser au maximum les terrains les plus plats pour les cultures. Aujourd'hui, l'agriculture ayant périclité dans cette vallée, des champs autrefois cultivés ont été urbanisés et les landes à genêts envahissent de plus en plus l'espace.

  • Montée au col du Suquet
    Montée au col du Suquet - nathalie.thomas
    Paysage

    Col du Suquet

    Vous vous trouvez au point le plus élevé de la promenade. Rive droite de la Dourbies, le versant abrupt que parcourt le sentier est constitué alternativement de zones où le granite est massif et d'autres où il est décomposé en arène (sable grossier issu de l'altération du granite). Vers le sud, on découvre un panorama englobant la totalité du massif du Lingas, haut plateau boisé surplombant au sud le Viganais et la plaine languedocienne.
  • Le lavoir des Monts
    Le lavoir des Monts - Béatrice Galzin
    Agriculture

    Le lavoir des Monts

    Le lavoir des Monts coule encore mais les lavandières ont bel et bien disparu. Le site est magique. L'eau est claire, propice à la ponte des libellules et à désaltérer les oiseaux.
  • Saint Sauveur des Pourcils au début du XXe siècle
    Saint Sauveur des Pourcils au début du XXe siècle - © Coll. G. Mathon
    Milieu naturel

    Un domaine agricole reboisé

    Le hameau de Saint-Sauveur-des-Pourcils est actuellement entouré d’arbres mais au XIXe siècle, l’Aigoual était dénudé ! Le reboisement du massif est issu d’un programme de l'Etat mené par les forestiers. Le service des Eaux et Forêts a acheté de nombreux domaines agricoles pour les transformer en maisons forestières. Saint-Sauveur-des-Pourcils possède alors toutes les qualités requises : des bâtiments pour loger les forestiers, une diversité des sols, une bonne exposition au soleil et de l’eau à proximité (rivière en contrebas). Les forestiers ont implanté une pépinière pour cultiver de jeunes arbres et un arboretum pour tester l’adaptation de différentes essences.

  • © Coll. G. Mathon
    Histoire

    Une église au centre de toutes les attentions

    Pourquoi une église si imposante a-t-elle été construite dans un petit hameau ? L’attachement profond qu’éprouvent les paroissiens envers leur lieu de culte a joué un rôle primordial. L’église a été détruite à trois reprises par les protestants (1562 et 1703) et par l’usure du temps (1848). Mais à chaque fois, les paroissiens, habitant les hameaux voisins, ont décidé de la reconstruire. Malgré toute cette volonté, l’église et le cimetière sont transférés à Camprieu (1871) : difficulté d’accès au lieu de culte et mésentente entre le maire et le curé sont les arguments retenus par les autorités épiscopales. Les fidèles, opposés au transfert, obtiennent le maintien des messes pour le pèlerinage annuel, les baptêmes, les obsèques et les mariages.

  • Ecole de Villemagne dans les années 1960
    Ecole de Villemagne dans les années 1960 - © Coll. G. Mathon
    Histoire

    Un cimetière révélateur d’histoires

    Le petit cimetière de Saint-Sauveur-des-Pourcils aujourd’hui si paisible révèle une histoire riche et mouvementée : des noms de familles de religion catholique, orthodoxe, protestante, juive et musulmane sont inscrits sur les tombes. Cette pluralité religieuse s’explique en partie par la venue d’une main d’œuvre étrangère au XXe siècle lors de l’exploitation des mines de plomb argentifère et de cuivre dans le hameau voisin de Villemagne. La période trouble de la Seconde guerre mondiale a amené une femme juive et ses enfants à se réfugier dans les environs. Les tombes musulmanes sont les témoins de la période pendant laquelle un camp de Harkis était implanté dans la région après la guerre d’Algérie. Ces anciens militaires, alliés des troupes françaises, étaient employés par les Eaux et Forêts pour travailler au reboisement de l’Aigoual.

  • Le hameau et ses alentours avant le reboisement
    Le hameau et ses alentours avant le reboisement - © Coll. G. Mathon
    Architecture

    Château ou domaine agricole ?

    Au XIIe siècle, des petits seigneurs dépendant de la famille de Roquefeuil règnent sur le château de Saint-Sauveur-des-Pourcils. Ils vivent en autarcie avec leurs troupeaux, leurs grandes terres de pâturages et une partie des récoltes paysannes. Aucun vestige de cette époque n’est aujourd’hui visible : le bâtiment principal s’apparente plutôt à un corps de ferme. Au fil des siècles, le château est devenu un grand domaine agricole avec ses dépendances.

  • Sapinière en futaie régulière
    Sapinière en futaie régulière - © Elodie Mazel
    Milieu naturel

    arboretum de Saint Sauveur

    A l’origine, les arboretums ont un caractère expérimental : étudier le comportement des essences d’arbres introduites sur le massif dans le cadre du reboisement mené dès la fin du XIXe siècle. Au fil du temps, ce caractère scientifique devient moins important au profit d’une vocation davantage pédagogique et ornementale. Sur l’Aigoual, l’Office national des forêts entretient un réseau d’arboretums représentatif de la diversité de la forêt et du travail mené par les forestiers sur le massif depuis le début du XXe siècle.
    Le sentier parcourt une partie seulement du vaste arboretum.

  • La ferme de La Boissière
    La ferme de La Boissière - nathalie.thomas
    Histoire

    La ferme de Boissière

    La ferme de La Boissière a été abandonnée par ses habitants lors des reboisements de l'Aigoual. Un salaire assuré par l'administration des Eaux et Forêts était tellement plus garanti que les maigres ressources agricoles et le travail sans fin du paysan. Vous passerez sous son porche et foulerez l'aire de battage des céréales, mais point de poules, ni grain sur l'aire, point de troupeaux partant au pré … Aujourd'hui, la forêt a repris le dessus.
  • Le chemin des morts
    Le chemin des morts - nathalie.thomas
    Histoire

    Le chemin des Morts

    Au Moyen Age et jusqu'en 1870, le village catholique de Camprieu n'avait pas d'église, ni de cimetière. Les habitants se rendaient ainsi au hameau de Saint Sauveur de Pourcils. Pour transporter leurs défunts jusqu'à ce cimetière éloigné, il fallait emprunter « le chemin des Morts ». Le cercueil était porté à dos d'homme et à chaque lieu de pose, on récitait la prière du « de profundis ». Les cortèges mortuaires ont cessé d’emprunter ce chemin à l'été 1872. Cette année-là, le village de Camprieu s’est enfin doté de son propre cimetière. Mais il a gardé son nom d'antan : « le sentier des Morts ».
  • Camprieu
    Camprieu - nathalie.thomas
    Histoire

    Camprieu

    Au XIXe siècle, les rues du village étaient animées toute l'année par un petit peuple d'artisans, d'ouvriers et de commerçants, qui vivaient dans ces humbles maisons de montagne, propices à l'élevage. Camprieu comptait donc : 2 cordonniers, 6 sabotiers, 2 vanniers, 1 menuisier, 2 charrons, 2 maréchaux ferrants, 1 minotier, 2 tailleurs de pierres, une verrerie, une scierie, une laiterie, deux épiceries, mercerie et quincaillerie et une boutique pour les dames à l'enseigne « modes et robes ». Il y avait également une cave qui fabriqua du Roquefort jusqu'en 1932, un hôtel et une auberge.
  • Perte du Bonheur
    Perte du Bonheur - nathalie.thomas
    Eau

    Le ruisseau du Bonheur

    Le site de Bramabiau est un exemple de résurgence. Ici, un peu à l'est de Camprieu, le ruisseau du Bonheur perfore le Causse et disparaît dans un tunnel naturel. On le retrouve à l'air libre au fond de l'Aven de Balset mais il se tord vers le sud pour disparaître à nouveau sous terre. Le ruisseau parcourt en sinuant plus de 10 km de galeries souterraines. Mais à 700 m à l'horizontale de sa perte, il resurgit ! Les parois du canyon qui l'enserre démultiplient le son de ses flots et ajoutent à ses grondements des vibrations acoustiques proches d'un mugissement phénoménal. Ce n'est plus le Bonheur tranquille, c'est le tumultueux Bramabiau.

  • Col de la croix de fer
    Col de la croix de fer - nelly Carel
    Histoire

    Col de la Croix de Fer

    Au col de la Croix de Fer, croisement stratégique de plusieurs voies, une auberge-relais d’affenage accueillait les voyageurs. Cette magnifique ruine avec ses deux voûtes imposantes était aussi une importante ferme, propriété du baron de Roquedols. Elle se situe à la limite des communes de Meyrueis et de St Sauveur-Camprieu sur le tracé du « Camin Ferrat » et de la route Royale. Au temps des persécutions religieuses, le prédicant François Vivens* organisait des assemblées protestantes clandestines dans le vallon juste en contrebas des bâtiments.  (*Vivens a été tué en 1692, 10 ans avant la guerre des Camisards)
  • Zone humide
    Zone humide - Béatrice Galzin
    Eau

    Zone humide

    Écoute ! On entend de l’eau !
    Au-dessus du chemin, l’eau s’écoule doucement... C’est une zone humide, un espace fragile à protéger. La tourbière est constituée de joncs, de laîches et de nombreuses mousses, comme la sphaigne. Une grande quantité d’insectes y logent, comme le criquet ensanglanté et des libellules, ainsi que la grenouille rousse. Ici, si nous ne faisons pas de bruit, nous pouvons entrevoir des biches et d’autres animaux qui viennent se rafraîchir…
  • Route Royale
    Route Royale - Béatrice Galzin
    Histoire

    Des chanoines à la route Royale

    Avez-vous remarqué que nous étions sur un très ancien chemin ?
    Replongeons-nous dans l’histoire… Vers l’an mille, cette route appelée « Camin Ferrat » était utilisée par les transhumants, les pèlerins et les marchands entre Meyrueis et le Vigan. Son tracé partant du Vigan passait à Mandagout, l'Espérou, le col de la Serreyrède et descendait par l'abbaye du Bonheur pour remonter à la Croix de Fer avant d’atteindre Meyrueis. Cette importante voie muletière permettait des échanges entre la Méditerranée et le Massif Central. Le baron de Roquefeuil, seigneur de la région, aménagea une abbaye en contrebas, dans la vallée du Bonheur, pour secourir les voyageurs perdus dans la montagne. A la fin du XIe siècle, il fonda une communauté religieuse de 6 chanoines qui assuraient des offices et qui, par mauvais temps, sonnaient la « cloche des égarés » à heures régulières pour guider les passants en péril. L’abbaye fût abandonnée en 1790.  Au XVIIIe siècle, le « Camin Ferrat » fut délaissé au profit de la route Royale que nous suivons depuis le col de la Caumette jusqu’à Meyrueis. Ce nouveau tracé passait au col de la Serreyrède et continuait jusqu'au col de la Caumette pour suivre ensuite les crêtes. Ce mur que nous longeons entre la Caumette et la Croix de Fer est-il un vestige de la route Royale ? Ou bien la limite du domaine de l’abbaye du Bonheur ? Le secret reste entier, nos ancêtres seulement connaissent cette histoire…
  • Col de la Caumette
    Col de la Caumette - nathalie.thomas
    Histoire

    La route du sel

    La Caumette se trouve sur une ancienne route du sel. De l'antiquité à nos jours, le sel fut une marchandise précieuse, servant à la conservation des aliments et au tannage des peaux. Le sel a toujours fait l'objet de commerce et de taxes lors de son transport entre le littoral méditerranéen et l'intérieur des terres.La guérite au col, bâtie au XVIe ou XVIIe siècle, fut construite sur une de ces routes à la jonction stratégique de plusieurs chemins, pour la perception de la "gabelle" et la surveillance de la contrebande.
  • Chemin dans la forêt
    Chemin dans la forêt - Michel Monnot
    Milieu naturel

    Le hêtre et la forêt de l’Aigoual

    Le hêtre constitue la principale essence de la forêt de l’Aigoual, riche par ailleurs de nombreuses espèces adaptées à la diversité des sols et des expositions du massif. Comme chez la plupart des feuillus, lorsqu’on coupe le hêtre, la souche émet de nombreuses nouvelles tiges ou « rejets ». Le forestier sélectionne alors les meilleures pour du bois d’œuvre qui sera transformé en meubles, et exploite les autres en bois de chauffage. En vieillissant, il peut atteindre des dimensions remarquables, comme le hêtre de la forêt du Suquet sur la commune de Camprieu, souvenir de la forêt initiale qui a traversé les siècles, avec 6 mètres de circonférence et 25 mètres de hauteur !
  • Le pic noir
    Le pic noir - Jean-Pierre.Malafosse
    Faune

    Pic noir

    Le plus grand de nos pics, le Pic noir est réapparu sur le massif en 1936. Agrippé au bois et en appui sur sa queue très rigide, il creuse dans le tronc d'un hêtre de bon diamètre (plus de 30 cm) la "loge" dans laquelle il se reproduira .Elle doit être située à plus de six mètres du sol, son entrée ovale faisant face à un espace dégagé pour un envol facile. La nourriture doit se trouver en abondance: fourmilières, résineux morts ou malades que le Pic noir crible de trous pour en extraire des larves; des pommes de pin ou d'épicéas qu'il coince dans ces trous pour en extraire les graines. Peut- être entendrez vous son cri, un "trrruuu, trrruuu" puissant !

  • L'Orée (Yoann Crépin)
    L'Orée (Yoann Crépin) - © Filature du Mazel
    Savoir-faire

    L'Orée (Yoann Crépin)

    Une porte, l’ouverture vers un parcours d’art dans la nature.
    Fusionner et interagir avec l’environnement pour jouer avec les saisons, le temps, la lumière et l’apesanteur. Laisser l’homme s’exprimer à travers la nature et laisser la nature s’exprimer à travers l’homme, une interaction nécessaire, une imprégnation fusionnel qui inspire la découverte d’un autre monde.
  • Point de vue

    La lozere pour Horizon

  • Faune

    Bois de Hetre

    Le Hêtre commun, Fagus sylvatica, couramment désigné simplement comme le hêtre est une espèce d'arbres à feuilles caduques, indigène d'Europe, appartenant à la famille des Fagaceae, tout comme le chêne et le châtaignier.

    Il est l'une des principales essences constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le sapin blanc ou l'Épicéa commun.

    C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.

  • Bassin versant (Xavier Réche)
    Bassin versant (Xavier Réche) - © Filature du Mazel
    Eau

    Bassin versant (Xavier Rèche)

    Par son implantation et son nom, cette installation évoque la ligne de partage des eaux Atlantique/Méditerranée toute proche. Une « embarcation », réduite à la structure de sa charpente en suspens, sans les bordés ni le plat-bord, s’incline dans la direction des eaux de ruissellement. Elle souligne les traces des premières ramifications d’un immense réseau hydrographique.
  • Arbre feuille (Alain Bernegger)
    Arbre feuille (Alain Bernegger) - © Filature du Mazel
    Flore

    Arbre feuille (Alain Bernegger)

    Les Arbres-feuilles utilisent la structure nervurée pour établir une résonance graphique entre l’arbre et la feuille. Le changement d’échelle joue comme l’écho inversé de cette structure fractale. Au changement de saison, les rameaux dénudés opposeront leur hiver à l’été éternel des Arbres-feuilles.
  • le Pole Nature de l'Aigoual
    le Pole Nature de l'Aigoual - Béatrice Galzin
    Milieu naturel

    Pôle nature 4 saisons

    Le Pôle nature 4 saisons du massif de l’Aigoual propose un espace d’activités de pleine nature en toutes saisons, au cœur du Parc national des Cévennes, dominé par le sommet mythique du Mont Aigoual (1570m). Venez découvrir notre réseau de randonnées multi-activités (à pied, à cheval, en vélo) mais aussi en VTT ou avec un âne suivant votre envie !
    En jouant, vos enfants peuvent découvrir la course d’orientation ou le géocaching. Pour les plus sportifs, des circuits de trail, à faire au pas de course ,ont été aménagés !
    Amateurs de vélo de route, nous avons créé pour vous des circuits pour découvrir nos villages et nos vallées, avec différents niveaux de difficulté.
    Chut ! Plus un bruit ! Les passionnés de faune sauvage se sont postés pour observer les mouflons et autres animaux sauvages.
    Et si vous voulez juste faire une balade tranquille sur le massif, la voie de découverte « les balcons de l’Aigoual » est faite pour vous !  Des haltes de détente et d’information jalonnent ce parcours de 4,5 km avec seulement 150 m de dénivelé !
    Au plaisir de vous croiser sur nos chemins….
  • Observatoire du Mont Aigoual
    Observatoire du Mont Aigoual - © A. GRIFFON - Dpt30
    Patrimoine

    L'Observatoire du Mont Aigoual (copy)

    Le mont Aigoual est d’un point de vue climatique à la fois sous l’influence de l’océan Atlantique et de la Méditerranée, ce qui en fait un site particulièrement intéressant. Déjà en 1882, Georges Fabre, soutenu par le colonel (futur général) François Perrier, propose la construction d’« une station de recherches météorologiques et forestières » afin d’étudier le climat très particulier du mont Aigoual. Le projet est approuvé en 1886 et la construction durera de 1887 à 1894.

    La Commission météorologique du Gard a vu le jour en 1879. Les premières observations seront faites par des bénévoles. Ils sont dix-sept, membres de la Commission ou membres correspondants. Les observations se font deux fois par jour, à neuf heures du matin et à six heures du soir.

    Dès la fin du XIXe siècle, Georges Fabre, membre du Club cévenol fondé en 1894, veut favoriser le tourisme, alors en plein essor, dans le massif de l’Aigoual qui devient un haut lieu de loisirs, parcouru en automobile, à pied ou en skis, comme en attestent les premiers livres d’or. C’est à cette époque que sont alors construits une table d’orientation, un refuge, et enfin le Grand Hôtel.

    Cette station, aujourd’hui appelée Observatoire de l’Aigoual,  enregistre depuis 1894 des données météorologiques dont des étonnants records de rafales de vent (360 km/h en novembre 1968). L’ Observatoire de l’Aigoual est en cours de réhabilitation depuis 2019 et propose à ce jour au grand public une exposition sur le Changement climatique.

  • Archéosmart (Marc Limousin)
    Archéosmart (Marc Limousin) - © Filature du Mazel
    Archéologie

    Archéosmart (Marc Limousin)

    Des empreintes de Smartphones affleurent sur des rochers : des fossiles du temps présent qui deviendront des énigmes pour les temps futurs. Ces pierres gravées, à l’instar des cupules et autres témoignages rupestres de la région, nous dévoilent l’histoire révélée dans la matière et résonnent avec cette formule de Malraux : « L’avenir est un présent que nous fait le passé ».
  • Troupeau au sommet de l'Aigoual
    Troupeau au sommet de l'Aigoual - © Nathalie Thomas
    Flore

    Sommet de l'Aigoual

    À 1 565 m d’altitude ici, le climat est rude : les conditions sont les mêmes qu’à 2 000 m ailleurs, avec seulement quatre mois « hors gel ». Le vent est supérieur à 60 km/h 265 jours par an, et la température moyenne annuelle est de 4,8°C. Les arbres n’ont pas le temps d’accomplir l’ensemble de leur cycle vital. On retrouve donc ici les formations végétales des zones de montagne : celles des pelouses à caractère subalpin.

  • Point de vue

    Vallée de l'Herault

  • Assise (Marie-Hélène Richard)
    Assise (Marie-Hélène Richard) - © Filature du Mazel
    Paysage

    Assise (Marie-Hélène Richard)

    Les chemins ouvrent loin des villes la voie à de nouveaux rythmes. Une autre vision de la vie ou le temps nous donne la respiration de la contemplation, des pierres, des arbres et des ciels omniprésents. Une expérience physique du face à face avec la nature. Un banc de bois et de branches dont le dossier s’affine et s’élève vers le ciel comme pour redevenir arbre.
  • L'Aigoual sous la neige
    L'Aigoual sous la neige - © Météosite du Mont Aigoual
    Histoire

    Météosite de l'Aigoual

    Inaugurée en 1894, cette infrastructure constitue le dernier observatoire météorologique de montagne habité en France. Son histoire est étroitement liée au reboisement de la forêt de l'Aigoual. Il est devenu une station météo performante avec un parc à instruments moderne de test des appareils de mesures en conditions extrêmes, en même temps qu'une exposition-musée sur la météorologie. Cette exposition de 800 m2 vous en dira un peu plus sur la climatologie de L'Aigoual et plus généralement sur la météorologie.

     

  • Tempus fugit (Fiona Paterson, Donald Buglass)
    Tempus fugit (Fiona Paterson, Donald Buglass) - © Natacha Maltaverne
    Histoire

    Tempus fugit (F.Paterson, D.Buglass)

    Le temps fuit, la conscience crie, la mort menace, le ciel sollicite, l’enfer gronde et l’homme dort. Ici les effets du temps et des éléments naturels transforment le bois de l’œuvre, tout est un éternel recommencement au rythme des heures qui passent. Combien de temps avons-nous avant que tout soit perdu et qu’il soit trop tard pour réparer les dégâts ? La nature continuera sa route et effacera les traces des Hommes sur terre.
  • Observatoire de l'Aigoual
    Observatoire de l'Aigoual - nathalie.thomas
    Histoire

    L’observatoire météorologique - Le climatographe

    Inauguré en 1824, l'observatoire météorologique a été construit à l'initiative de Georges Fabre, l'un des pionniers du reboisement de l'Aigoual. Son travail avec le botaniste Charles Flahaut a permis la création de l'arboretum de l'Hort de Dieu. Les premiers relevés météorologiques étaient effectués par les agents des Eaux et Forêts (actuel ONF). A partir de 1943, l'observatoire est géré par l'Office National Météorologique, dernier observatoire de montagne habité en permanence. Aujourd'hui il est géré par la communauté de communes Causses Aigoual Cévennes Terres Solidaire, qui a installé un centre d'interprétation et de sensibilisation de l'évolution du climat et du changement climatique (Le Climatographe). Cette exposition interactive vise à présenter les causes, conséquences et actions à mener pour limiter le phénomène et ses impacts , de manière objective et compréhensible par tous.
  • Observatoire du Mont Aigoual
    Observatoire du Mont Aigoual - © A. GRIFFON - Dpt30
    Patrimoine

    L'Observatoire du Mont Aigoual

    Le mont Aigoual est d’un point de vue climatique à la fois sous l’influence de l’océan Atlantique et de la Méditerranée, ce qui en fait un site particulièrement intéressant. Déjà en 1882, Georges Fabre, soutenu par le colonel (futur général) François Perrier, propose la construction d’« une station de recherches météorologiques et forestières » afin d’étudier le climat très particulier du mont Aigoual. Le projet est approuvé en 1886 et la construction durera de 1887 à 1894.

    La Commission météorologique du Gard a vu le jour en 1879. Les premières observations seront faites par des bénévoles. Ils sont dix-sept, membres de la Commission ou membres correspondants. Les observations se font deux fois par jour, à neuf heures du matin et à six heures du soir.

    Dès la fin du XIXe siècle, Georges Fabre, membre du Club cévenol fondé en 1894, veut favoriser le tourisme, alors en plein essor, dans le massif de l’Aigoual qui devient un haut lieu de loisirs, parcouru en automobile, à pied ou en skis, comme en attestent les premiers livres d’or. C’est à cette époque que sont alors construits une table d’orientation, un refuge, et enfin le Grand Hôtel.

    Cette station, aujourd’hui appelée Observatoire de l’Aigoual,  enregistre depuis 1894 des données météorologiques dont des étonnants records de rafales de vent (360 km/h en novembre 1968). L’ Observatoire de l’Aigoual est en cours de réhabilitation depuis 2019 et propose à ce jour au grand public une exposition sur le Changement climatique.

  • Forêt de l'Aigoual
    Forêt de l'Aigoual - © Gaël Karczewski
    Histoire

    Terrain d’expérimentation pour les botanistes

    Balise n° 1
    L’Hort de Dieu situé à 1 300 mètres d’altitude est marqué par un climat extrême. Ce site d’une richesse exceptionnelle est un terrain d’étude et d’expérimentation privilégié pour les botanistes. Les collections d’arbres ayant un peu plus de 100 ans, un certain nombre d’entre eux dépérissent, soit du fait de leur grand âge, soit en raison de leur inadaptation au massif. On compte aujourd’hui 75 espèces sur les 140 testées depuis un siècle. C’est pour conserver l’intérêt de ce lieu patrimonial que l’Office national des forêts a engagé avec le Parc national des Cévennes une réflexion sur le renouvellement des collections.

  • Cellule (Marie Gueydon de Dives)
    Cellule (Marie Gueydon de Dives) - © Filature du Mazel
    Paysage

    Cellule (Marie Gueydon de Dives)

    L’œuvre Cellule est une architecture naturelle et une réalisation artificielle qui représente un passage entre les mondes intérieur et extérieur. Poser ou opposer en interrogeant les notions de limite, de porosité et d’ouverture.
    Cette œuvre vous invite à entrer à l’intérieur et à ressentir l’extérieur. Être l’œil qui contemple, l’oreille qui reçoit, la conscience qui objective la réalité.
  • Le Portalet
    Le Portalet - nathalie.thomas
    Flore

    Pelouses et landes du sommet de l'Aigoual

    Ici, seules les espèces pouvant se reproduire en cycle court peuvent s'implanter, en raison du climat souvent glacial. La lande est colonisée par les bruyères et les pins à crochets. Cette zone peu boisée à cause des vents violents, présente une analogie avec la végétation de l'étage subalpin composée de pelouses et de landes à bruyères et myrtilles.Elle est parfois qualifiée de pseudo-alpine.

  • Vue depuis Font de Trépaloup
    Vue depuis Font de Trépaloup - nathalie.thomas
    Flore

    L'évolution de la végétation

    Au col se dresse un menhir de schiste. Au nord, dans le ravin de Trépaloup, des silex taillés témoignent de la fréquentation de cette région dès la préhistoire. Des analyses palynologiques (études de pollens fossilisés dans les tourbières) ont permis de reconstituer la végétation de l'Aigoual entre 8000 et 5000 av. J-.C. Le pin domine, accompagné du bouleau et du noisetier. Puis, le peuplement de pins diminue progressivement. Le climat humide se réchauffe et favorise l'extension du chêne et du noisetier. Enfin, le renforcement de humidité et de la nébulosité en altitude permet le développement du sapin et du hêtre. Dès la fin du 1er siècle av. J.-C., l'apparition d'un pourcentage important de graminées met en évidence le recul de la forêt en faveur des pâturages et des pelouses. C'est le début des grandes déforestations.

  • Faune

    Interprétation Paysagère

  • Histoire

    Chalet de Charles Flahaut


Description

- Jour 1 :
Lanuéjols – Dourbies, par le village de Trèves : 17,200km (balisage Jaune)
- Jour 2 :
Dourbies – Camprieu, par le hameau de Monts, St Sauveur puis Camprieu, 13 km (balisage jaune + GR®)
- Jour 3 :
Camprieu - Sommet de l’Aigoual, par le Col de la Caumette : 11km (balisage Jaune + GR®).
- Jour 4 :
Sommet de l’Aigoual – Valleraugue :  8,5 km (balisage jaune)
  • Départ : Lanuéjols
  • Arrivée : Valleraugue
  • Communes traversées : Lanuéjols, Trèves, Dourbies, Saint-Sauveur-Camprieu, Meyrueis, Val-d'Aigoual et Bassurels

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

Adaptez votre équipement aux conditions météo du jour. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante, de bonnes chaussures et un chapeau. Bien refermer les clôtures et les portillons.

Où dormir :
Lanuéjols : Hôtel Bel Air  04 67 82 72 78 herve.maille30@orange.fr www.hotel-restaurant-belair.fr
Dourbies : Auberge de Dourbies 04 67 82 70 88 – 06 75 43 35  aubergededourbies@wanadoo.fr Dourbies : Gîte d’étape communal "Le P’tit Dourbien" 06 16 08 92 60
Maison multi services 07 88 85 89 35 – 04 67 65 57 31 multiservices.dourbies@gmail.com
Camprieu : le Pont du Moulin 06 89 02 15 31 lepontdumoulin30@gmail.com
Sommet de l’Aigoual : www.stationaltiaigoual.com
Valleraugue : Gîte d'étape "la Coconnière de  Valleraugue" 06 81 85 33 51 - 04 67 73 21 30
Chambres d'hôtes : sudcevennes.com

Lieux de renseignement

Maison du tourisme et du Parc national des Cévennes, La Serreyrède

Col de la Serreyrède, 30570 Val d'Aigoual

https://www.sudcevennes.commaisondelaigoual@sudcevennes.com04 67 82 64 67

La Maison de l'Aigoual abrite l'office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes et la maison du Parc national. C'est un espace d’accueil, d'information et de sensibilisation sur le Parc national des Cévennes et ses actions, sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc.
Sur place : expositions temporaires, animations au départ du site et boutique

En savoir plus
Accessibilité :
Accessible aux personnes à mobilité réduite sur les trois niveaux du bâtiment (ascenseur)

Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Saint-André-de-Valborgne

les quais, 30940 Saint-André-de-Valborgne

https://www.sudcevennes.comstandredevalborgne@sudcevennes.com04 66 60 32 11

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc.

En savoir plus

Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Valleraugue

7 quartier des Horts, 30570 Valleraugue

https://www.sudcevennes.comvalleraugue@sudcevennes.com04 67 64 82 15

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animations ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc. 

Ouvert toute l'année (se renseigner pour les jours et horaires d'ouverture en période hivernale)

En savoir plus

Transport

Cette randonnée est accessible en transports en commun.

Pour consulter les horaires actualisés et planifier votre trajet, utilisez le calculateur d'itinéraires ci-dessous en renseignant l'arrêt d'arrivée : LANUÉJOLS - Place

Accès routiers et parkings

Accès avec le bus LIO Nîmes / le Vigan / Lanuéjols : lignes 140 puis 108

Stationnement :

Lanuéjols

Source

CC Causses Aigoual Cévennes Terres Solidaireshttp://www.caussesaigoualcevennes.fr/

Signaler un problème ou une erreur

Vous avez repéré une erreur sur cette page ou constaté un problème lors de votre randonnée, signalez-les nous ici :