Prat-Peyrot - Vélo route n°6
Col Salidès
Col Salidès - N Thomas
Saint-André-de-Valborgne

Prat-Peyrot - Vélo route n°6

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Un super tour pour les amoureux des dénivelés importants, avec en prime le sommet de l’Aigoual !
Vous tournez autour de l’Aigoual ! Le « nombril de la France »!
Une vue à 360° tout le long de votre course, avec un bon dénivelé, mais des récompenses dans chaque virage, à chaque col. Et au final, vous pourrez dire : je l’ai fait !

Les 50 patrimoines à découvrir

  • © Béatrice Galzin
    Histoire

    Au courant

    Les habitants du village l’étaient dès 1919. La petite cabane qui ne paie pas de mine de l’autre côté du ruisseau abritait une petite turbine alimentée par un beal. Installée par un particulier, M. Teston, son fonctionnement permettait d’alimenter une ampoule par foyer.
  • Bergeronnette des ruisseaux
    Bergeronnette des ruisseaux - © Régis Descamps
    Faune

    Poissons et compagnie

    Sur ses berges, un bel oiseau blanc, gris et noir : la bergeronnette grise arpente les rives à la recherche d’insectes, en hochant sa longue queue. Plus colorée, la Bergeronnette des ruisseaux la côtoie souvent. Le Cincle plongeur, quant à lui, ressemble à un merle à la poitrine ornée d’une grosse tache blanche. Il disparaît souvent sous l’eau, pour y chasser des larves d’insectes. Les truites, qui se délectent des mêmes proies sont présentes dans le Gardon et font le bonheur des pêcheurs.
  • Calade
    Calade - © Béatrice Galzin
    Architecture

    Deux en un

    Ce chemin empierré qui grimpe est une « calade » et calada. Celle-ci sert non seulement de chemin mais aussi de ruisseau, permettant l’évacuation de l’eau par temps de pluie. Attention lors d’averses : le chemin devient  glissant…
  • © Béatrice Galzin
    Agriculture

    Bien alimentés

    Les jardins cévenols sont desservis par des beals (sortes de petits canaux) qui acheminent l’eau de rivières ou de sources vers les terres cultivées. Ils sont généralement aménagés en bancels, c’est-à-dire en terrasses. En retenant la terre, les murets permettent d’obtenir des parcelles planes, avec un sol plus profond, dans lequel l’eau s’infiltre et persiste plus longtemps.
  • Fontaine du Griffon
    Fontaine du Griffon - © Béatrice Galzin
    Eau

    A boire!

    Réputée pour sa pureté, l’eau de la fontaine du Griffon étanchera sans problème la soif du promeneur. Autrefois, elle servait non seulement d’eau de boisson, mais tout le quartier venait y puiser de quoi cuisiner, laver le linge, se laver, arroser ses plantes… Lieu d’approvisionnement, la fontaine était aussi un lieu de rencontre important dans la vie du village.
  • © Béatrice Galzin
    Eau

    Les gardonnades

    Si le village profite de l’eau qu’apporte le Gardon, il doit aussi supporter ses épisodiques sautes d’humeur. Des précipitations abondantes peuvent rapidement enfler son cours. C’est souvent à l’automne que le torrent déborde de son lit. Les crues les plus importantes peuvent avoir des conséquences dramatiques, tant sur le plan matériel qu’humain. Beaucoup se souviennent encore des crues de septembre 1958 et 2002, qui causèrent de nombreux dégâts.
  • Le village de St André de Valborgne
    Le village de St André de Valborgne - Béatrice Galzin
    Architecture

    Le village de St André de Valborgne

    En se promenant le long des quais qui surplombent la rivière, les belles maisons bourgeoises de l’époque florissante de la soie se dévoilent encore. En cherchant un peu, d’anciennes filatures ou bâtiments industriels dédiés à la sériciculture se dessinent encore dans le paysage. Un peu plus bas, en face du château du XVIe,  écoutez l’histoire racontée par Bernadette Lafont sur les épopées des camisards dans les années 1702. En remontant sur la place, désaltérez-vous à la fontaine et osez pousser la porte de l’église de l’époque romane (XIIe siècle)…
  • © Béatrice Galzin
    Eau

    Une source, cinq fontaines

    Cette fontaine est l’une des cinq fontaines publiques de Saint-André, toutes alimentées par la même source (son eau est donc la même que celle de la Fontaine du Griffon). Avant l’installation de l’eau courante, elles étaient bien plus nombreuses sur ce côté du quai.
  • © Béatrice Galzin
    Histoire

    L'âge de la soie

    À partir du XIXe siècle, l’industrie de la soie se développe dans les Cévennes : les tanneries cèdent alors la place à des filatures. L’eau y servait non seulement à traiter les cocons de vers à soie (ébouillantés pour préparer la soie) mais aussi à entraîner les machines à filer (système à vapeur). Dans la seconde moitié du XIXe siècle des maladies ont largement fait chuter la production de soie, qui fut soumise à la concurrence des soies étrangères puis à celle des soies artificielles. L’activité s’éteignit en 1965.
  • © Béatrice Galzin
    Histoire

    Quartier des tanneurs

    Le quartier de la Calquière tire son nom de celui des fosses dans lesquelles les tanneurs faisaient tremper les peaux avec de la chaux qui se dit cauç ou calç en occitan. Tout au long du Gardon on trouvait des tanneries car son eau acide favorisait un bon rinçage des peaux, indispensable pour des produits de qualité.
  • © Béatrice Galzin
    Géologie

    Traces de géants

    Des « marmites de géant » se sont formées dans la roche au bas de la cascade : de telles cavités aux formes arrondies et régulières se forment seulement dans les cours d’eau rapides. Elles résultent du frottement répété de galets piégés dans un creux et entraînés par des courants tourbillonnants.
  • Vignoble et terroir

    Polyculture Cévenol

    Les paysages cévenols sont des paysages de moyennes montagnes qui sont le résultat de trois millénaires d’activités agropastorales.Vous avez face à vous un paysage typiquement issu de l'activité agro pastorales cévenol. Vous observerez des murs en pierres sèches qui retiennent la terre pour les besoins de l'agriculture ainsi qu'une retenue d'eau pour l'irrigation des vergers et des champs.
  • le château de Nogaret
    le château de Nogaret - Sabine Keller
    Architecture

    Château de Nogaret

    Construit au XIIe siècle, le château de Nogaret était situé sur la seule route qui reliait Saint-André-de-Valborgne au Pompidou. Il aurait été édifié pour servir de place forte et défendre la vallée Borgne. Incendié en 1628 lors de la guerre entre le duc de Rohan et Louis XIII, puis en 1704 par les Camisards, il fut reconstruit dans le courant du 17e siècle. Cette propriété privée appartient toujours à la famille de Manoel de Nogaret.
    « Ce petit château est l'un des plus beaux exemples de ces maisons fortes édifiées à la fin du Moyen-Âge par des petits seigneurs locaux, désirant s'affranchir, symboliquement au moins, de la tutelle des grands féodaux. » (Isabelle Darnas - Les châteaux médiévaux en Cévennes).
  • Les ruines du château de la Fare
    Les ruines du château de la Fare - capri’ces des Cévennes
    Histoire

    Château de la Fare

    Après de multiples combats avec le château du Folhaquier, il ne reste aujourd’hui que ce pan de mur de ce gros château médiéval du seigneur de la Fare. Elevé au sommet d’un mamelon de schiste, il est isolé de tous les côtés par des abrupts. L’ancien village était fortifié et se situait juste au-dessous de ce pan de mur.
  • Le château du Folhaquier
    Le château du Folhaquier - Nathalie Thomas
    Architecture

    Les châteaux médiévaux

    Très près du village de St-André de Valborgne, se dressent sur le bord d’une falaise les restes du castrum de la Fare, qui daterait du XIIe siècle, château de défense dont il ne reste qu’un pan de mur de la tour. Les ruines au-dessous témoignent de l’importance du lieu. Les archives parlent d’un puits, d’une citerne, d’un pont-levis, mais sur le site, il ne reste rien. Sur l’éperon suivant, le château du Folhaquier domine majestueusement. Les transformations au fil des siècles et des propriétaires ont dessiné le hameau comme nous le voyons aujourd’hui. La période de la sériciculture a fortement influencé le paysage pour accueillir l’arbre d’or, le mûrier.
  • Hameau du château du Folhaquier
    Hameau du château du Folhaquier - Béatrice Galzin
    Histoire

    Château du Folhaquier

    Le château du Folhaquier se dessine sur cette petite ligne de crête, lieu stratégique à l’époque médiévale. Il surplombe le Gardon de Saint-Jean et fait face au château de la Fare.
    Il est séparé du hameau par un fossé taillé dans le schiste, et on peut encore voir une tour carrée construite au XVIe siècle sur les anciens remparts du XIIe, ainsi que les restes d’une tour ronde à son autre extrémité. Les bases de la chapelle castrale sont encore bien marquées et l’église romane Notre-Dame du Folhaquier, encore en excellent état, a résisté depuis presque un millénaire.

  • Le château de l'Hom
    Le château de l'Hom - Béatrice Galzin
    Architecture

    Les châteaux de la haute vallée Borgne

    Le château du Poujol est le dernier château de la vallée Borgne. Il est situé sous la barre rocheuses de la can de l’Hospitalet au nord, et le col Salidès au sud. Il a été bâti au XIIIe siècle sur un éperon rocheux pour surplomber la vallée. De nombreux aménagements en terrasses ont été façonnés par l’homme autour du site, qui laisse imaginer la vie agricole en Cévennes.
    Le château de l’Hom se dessine dans un écrin de verdure. Les premières mentions de la construction dateraient de 1401. De nombreux seigneurs laisseront la trace de leur passage dans l’architecture, mais pas seulement. En 1826, un assassinat a eu lieu sur ce site pour une histoire d’oreille coupée à une chèvre qui avait mangé les fleurs de la châtelaine…
  • Transhumance
    Transhumance - © Michelle Sabatier
    Agriculture

    La draille de la Margeride

    La draille suit la crête et traverse la can de l'Hospitalet. Ce chemin de transhumance permet aux troupeaux des plaines (du sud des Cévennes et de la Crau) de monter vers le nord du Gévaudan (Aubrac, Margeride, mont Lozère). Cette draille n'est qu'une branche d'un réseau plus important sur lequel circulent encore aujourd'hui les troupeaux transhumants.

  • Maison du berger
    Maison du berger - Michel Monnot
    Pastoralisme

    Un troupeau en estive

    Depuis la nuit des temps, les animaux montent naturellement de la plaine vers les montagnes en saison chaude. Le col Salidès est un lieu d’estive pour les moutons. La maison du berger est juste en contre-bas sur le versant méditerranéen. Le berger reste plusieurs mois avec environ 800 bêtes et quelques chiens. Attention aux patous, ces beaux et gros chiens blancs. Ils sont là pour surveiller et défendre le troupeau !
    Il est précieux que le troupeau pâture. Il fertilise le sol et permet l’entretien ouvert de l’espace.
  • La Vallée de Sexte et son manteau blanc
    La Vallée de Sexte et son manteau blanc - Béatrice Galzin
    Eau

    Col Salidès

    C’est ici que la géographie locale se divise en deux « pays ». En cheminant environ quatre kilomètres depuis le col vers le panneau « Bel-Fats », vous parcourez une crête qui n’est autre que la ligne de partage des eaux entre la Méditerranée et l’Atlantique. Pour en saisir la réalité, il faut se pencher sur la logique des bassins versants : lorsqu’une goutte de pluie tombe au sud de la draille, elle rejoint le Tarnon dont la source est toute proche du sentier. Arrivant à Florac, cette petite rivière épouse le Tarn qui sinue à travers la France de l’Ouest jusqu’à l’océan en débouchant à l’estuaire de la Gironde. Mais si la même goutte décide de verser au nord du chemin, alors elle rejoint la vallée Borgne et son Gardon qui, à son tour, se jette dans le Rhône à Vallabrègues (Gard), passe en Camargue et se retrouve dans la mer. Cette ligne de partage fait tout l’intérêt cartographique du massif de l’Aigoual. Le modelage des paysages est marqué : sur le versant atlantique, des reliefs doux et modérés jusqu’au mont Lozère, sur le versant méditerranéen, des collines abruptes qui s’érigent et plongent brusquement, de serres en valats, de crêtes acérées en fonds de vallées profondes.
  • Le Col Salidès
    Le Col Salidès - Office de tourisme OTMACC
    Agriculture

    Le berger transhumant du col de Salidès

    Dès la fin du printemps, le col de Salidès s’anime. Le berger transhumant s’installe pour les 3 mois d’estive dans ce lieu magique avec près de 1 000 brebis. Par tous les temps, le berger sort les animaux pour les amener brouter des herbes nouvelles. Il doit gérer ses espaces de pâture, mais aussi soigner les animaux. À la fin de l’été, chaque éleveur viendra récupérer ses bêtes. Attention aux chiens qui surveillent et protègent le troupeau !
  • Cabrillac
    Cabrillac - nathalie.thomas
    Histoire

    Cabrillac

    Le bourg de Cabrillac était situé au croisement de la grande draille d'Aubrac et de la route allant de Meyrueis à Florac et à St Jean du Gard. Avec une centaine d'habitants au siècle dernier, Cabrillac était un lieu de passage important et obligé. Il y avait chaque année deux foires : l'une lors de la montée vers l'estive au mois de mai, l'autre au retour en septembre. Pour certains, c'était l'occasion de vendre les agneaux qui avaient passé l'été sur l'Aubrac.

  • Draille de Cabrillac
    Draille de Cabrillac - nathalie.thomas
    Agriculture

    La draille d'Aubrac

    Depuis Cabrillac, nous suivons la grande draille d'Aubrac qui partait de la région de Ganges (Hérault) et conduisait les troupeaux jusqu'aux pâturages d'Aubrac, soit une distance de 110 km. Si vous montez à l'Aigoual (2h), vous aurez la possibilité d'aller à l'observatoire météorologique et de rencontrer les troupeaux transhumants. Attention aux patous !

  • Observatoire du Mont Aigoual
    Observatoire du Mont Aigoual - © A. GRIFFON - Dpt30
    Patrimoine

    L'Observatoire du Mont Aigoual (copy)

    Le mont Aigoual est d’un point de vue climatique à la fois sous l’influence de l’océan Atlantique et de la Méditerranée, ce qui en fait un site particulièrement intéressant. Déjà en 1882, Georges Fabre, soutenu par le colonel (futur général) François Perrier, propose la construction d’« une station de recherches météorologiques et forestières » afin d’étudier le climat très particulier du mont Aigoual. Le projet est approuvé en 1886 et la construction durera de 1887 à 1894.

    La Commission météorologique du Gard a vu le jour en 1879. Les premières observations seront faites par des bénévoles. Ils sont dix-sept, membres de la Commission ou membres correspondants. Les observations se font deux fois par jour, à neuf heures du matin et à six heures du soir.

    Dès la fin du XIXe siècle, Georges Fabre, membre du Club cévenol fondé en 1894, veut favoriser le tourisme, alors en plein essor, dans le massif de l’Aigoual qui devient un haut lieu de loisirs, parcouru en automobile, à pied ou en skis, comme en attestent les premiers livres d’or. C’est à cette époque que sont alors construits une table d’orientation, un refuge, et enfin le Grand Hôtel.

    Cette station, aujourd’hui appelée Observatoire de l’Aigoual,  enregistre depuis 1894 des données météorologiques dont des étonnants records de rafales de vent (360 km/h en novembre 1968). L’ Observatoire de l’Aigoual est en cours de réhabilitation depuis 2019 et propose à ce jour au grand public une exposition sur le Changement climatique.

  • Archéosmart (Marc Limousin)
    Archéosmart (Marc Limousin) - © Filature du Mazel
    Archéologie

    Archéosmart (Marc Limousin)

    Des empreintes de Smartphones affleurent sur des rochers : des fossiles du temps présent qui deviendront des énigmes pour les temps futurs. Ces pierres gravées, à l’instar des cupules et autres témoignages rupestres de la région, nous dévoilent l’histoire révélée dans la matière et résonnent avec cette formule de Malraux : « L’avenir est un présent que nous fait le passé ».
  • Troupeau au sommet de l'Aigoual
    Troupeau au sommet de l'Aigoual - © Nathalie Thomas
    Flore

    Sommet de l'Aigoual

    À 1 565 m d’altitude ici, le climat est rude : les conditions sont les mêmes qu’à 2 000 m ailleurs, avec seulement quatre mois « hors gel ». Le vent est supérieur à 60 km/h 265 jours par an, et la température moyenne annuelle est de 4,8°C. Les arbres n’ont pas le temps d’accomplir l’ensemble de leur cycle vital. On retrouve donc ici les formations végétales des zones de montagne : celles des pelouses à caractère subalpin.

  • Tempus fugit (Fiona Paterson, Donald Buglass)
    Tempus fugit (Fiona Paterson, Donald Buglass) - © Natacha Maltaverne
    Histoire

    Tempus fugit (F.Paterson, D.Buglass)

    Le temps fuit, la conscience crie, la mort menace, le ciel sollicite, l’enfer gronde et l’homme dort. Ici les effets du temps et des éléments naturels transforment le bois de l’œuvre, tout est un éternel recommencement au rythme des heures qui passent. Combien de temps avons-nous avant que tout soit perdu et qu’il soit trop tard pour réparer les dégâts ? La nature continuera sa route et effacera les traces des Hommes sur terre.
  • Observatoire de l'Aigoual
    Observatoire de l'Aigoual - nathalie.thomas
    Histoire

    L’observatoire météorologique - Le climatographe

    Inauguré en 1824, l'observatoire météorologique a été construit à l'initiative de Georges Fabre, l'un des pionniers du reboisement de l'Aigoual. Son travail avec le botaniste Charles Flahaut a permis la création de l'arboretum de l'Hort de Dieu. Les premiers relevés météorologiques étaient effectués par les agents des Eaux et Forêts (actuel ONF). A partir de 1943, l'observatoire est géré par l'Office National Météorologique, dernier observatoire de montagne habité en permanence. Aujourd'hui il est géré par la communauté de communes Causses Aigoual Cévennes Terres Solidaire, qui a installé un centre d'interprétation et de sensibilisation de l'évolution du climat et du changement climatique (Le Climatographe). Cette exposition interactive vise à présenter les causes, conséquences et actions à mener pour limiter le phénomène et ses impacts , de manière objective et compréhensible par tous.
  • Cellule (Marie Gueydon de Dives)
    Cellule (Marie Gueydon de Dives) - © Filature du Mazel
    Paysage

    Cellule (Marie Gueydon de Dives)

    L’œuvre Cellule est une architecture naturelle et une réalisation artificielle qui représente un passage entre les mondes intérieur et extérieur. Poser ou opposer en interrogeant les notions de limite, de porosité et d’ouverture.
    Cette œuvre vous invite à entrer à l’intérieur et à ressentir l’extérieur. Être l’œil qui contemple, l’oreille qui reçoit, la conscience qui objective la réalité.
  • Le Portalet
    Le Portalet - nathalie.thomas
    Flore

    Pelouses et landes du sommet de l'Aigoual

    Ici, seules les espèces pouvant se reproduire en cycle court peuvent s'implanter, en raison du climat souvent glacial. La lande est colonisée par les bruyères et les pins à crochets. Cette zone peu boisée à cause des vents violents, présente une analogie avec la végétation de l'étage subalpin composée de pelouses et de landes à bruyères et myrtilles.Elle est parfois qualifiée de pseudo-alpine.

  • Faune

    Interprétation Paysagère

  • Vue depuis Font de Trépaloup
    Vue depuis Font de Trépaloup - nathalie.thomas
    Flore

    L'évolution de la végétation

    Au col se dresse un menhir de schiste. Au nord, dans le ravin de Trépaloup, des silex taillés témoignent de la fréquentation de cette région dès la préhistoire. Des analyses palynologiques (études de pollens fossilisés dans les tourbières) ont permis de reconstituer la végétation de l'Aigoual entre 8000 et 5000 av. J-.C. Le pin domine, accompagné du bouleau et du noisetier. Puis, le peuplement de pins diminue progressivement. Le climat humide se réchauffe et favorise l'extension du chêne et du noisetier. Enfin, le renforcement de humidité et de la nébulosité en altitude permet le développement du sapin et du hêtre. Dès la fin du 1er siècle av. J.-C., l'apparition d'un pourcentage important de graminées met en évidence le recul de la forêt en faveur des pâturages et des pelouses. C'est le début des grandes déforestations.

  • Forêt domaniale de l'Aigoual
    Forêt domaniale de l'Aigoual - © A. GRIFFON - Dpt30
    Histoire

    Le reboisement de l'Aigoual

    Dès l'Age du Fer, l'Homme commence alors à faire reculer la forêt au profit des troupeaux. L'activité pastorale grignota le massif, mais l'exploitation des bois demeura plus ou moins contrôlée jusqu'à la Révolution française.

    Après celle-ci, les forets furent surexploités pour satisfaire les besoins en bois des habitants (chauffage), des charbonniers et des industries en plein essor (verreries, forges, fonderies, mines, soieries). Avec les maladies qui touchèrent deux piliers de l'économie cévenole d'alors – le châtaignier (encre) et le ver a soie (pébrine) – la pression du pâturage transhumant, troisième pilier de cette économie, s'accentua également, avec un impact sur la végétation et sur les sols.

    Ainsi, il ne restait plus en 1850, au maximum démographique des campagnes françaises, que 2200 hectares de bois sur ce qui allait devenir la forêt domaniale de l'Aigoual, majoritairement des taillis de hêtre. Le paysage était dominé par les herbes, les landes a callunes et genets et les rochers. La forêt était quasiment absente ! 

    Cette situation très dégradée du couvert végétal avait également pour conséquences des crues catastrophiques dans les hautes vallées lors des épisodes pluvieux automnaux, et les particules de sol n'étant que très peu retenues par la végétation terminaient dans les cours d'eau a l'aval, contribuant même à une part non négligeable (5%) de l'ensablement du port de Bordeaux ! 

    La mise en application sur le terrain des lois sur la restauration des terrains en montagne (1860, 1864 et 1882) par l'administration des Eaux et Forêts, sous la houlette de Georges FABRE, allait radicalement changer le paysage de l'Aigoual à partir de 1865 et réduire fortement les risques d'inondations catastrophiques. Sa réflexion sur l'adaptation des différentes essences aux conditions environnementales locales l'a conduit à mettre en place un réseau d'arboretums et à collaborer avec Charles FLAHAULT, directeur de l'Institut Botanique de Montpellier. Georges FABRE a su faire preuve de ténacité pour dépasser les réticences et oppositions, convaincre les populations locales ainsi que les propriétaires des terrains – habitant pour la plupart dans le Bas Languedoc – afin de pouvoir acheter les terrains sur lesquels seraient effectués les reboisements, et accompagner la transition entre une économie agricole en déclin et une économie nouvelle, plus forestière.

    Cette forêt présente donc aujourd'hui un nouvel écosystème riche à l’échelle des temps géologiques.

  • Lobaria pulmonaria
    Lobaria pulmonaria - © Mario Klesczewski
    Milieu naturel

    Vous avez dit "chourradou" ?

    Balise n° 4
    Ce hêtre remarquable de plus de 200 ans, appelé chourradou en occitan, tient son nom des moutons qui venaient chourrer, c’est-à-dire ruminer et se reposer sous son couvert ombragé. Ce type d’arbre (grande cavité, écorce décollée et bois mort ) accueille en particulier des insectes saproxyliques (mangeurs de bois mort) et des champignons. Sur un autre de ces vieux hêtres, en contrebas du sentier, se trouve un grand lichen appelé lobaria pulmonaria, caractérisé par ses grands besoins en eau et sa sensibilité à la pollution atmosphérique. Sa croissance est très lente et sa présence atteste de l’ancienneté de cette partie de la forêt.

  • Lis des Pyrénées
    Lis des Pyrénées - © J.-P. Grandmont
    Milieu naturel

    Jardin alpin

    Balise n° 5
    Le panneau illustre l'héritage du travail expérimental de Charles Flahault.

  • Faune

    Jardin Alpin de Charles Flahaut

    Charles Henri Marie Flahault, né à Bailleul le 3 octobre 1852 et mort à Montpellier le 3 février 1935) est un botaniste français, pionnier dans les domaines de la phytogéographie, de la phytosociologie, de l’écologie forestière et de la vulgarisation scientifique. Il est un des premiers à utiliser des concepts tels que l’association végétale, la notion de station (botanique), de relevé floristique. Il est l’auteur de nombreux travaux scientifiques majeurs, l’initiateur de la cartographe botanique et il est le premier, en France, à établir des liens forts et durables entre botanistes et forestiers. Il est en outre le fondateur de l’Institut de botanique de Montpellier, ville où il réside de 1881 à sa mort. Il est aussi le créateur, avec Georges Fabre, de l’arboretum de l'Hort de Dieu au mont Aigoual, et l’artisan passionné du reboisement de ce massif.
  • Histoire

    Chalet de Charles Flahaut

  • Chalet laboratoire en 2023
    Chalet laboratoire en 2023 - © B. Algoët
    Histoire

    Le chalet, laboratoire de Charles Flahault

    Balise n° 6
    «Et qui sait si quelque généreux mécène ne voudra pas un jour que nos étudiants trouvent, à l’Hort de Dieu même, un toit hospitalier ? J’y vois, dès maintenant, comme si elle s’y élevait, la petite maison largement éclairée vers la Méditerranée avec sa salle de travail au rez-de-chaussée, sa grande cheminée autour de laquelle on débat à la veillée les problèmes scientifiques...». (Charles Flahault, 1904)
    Ce chalet, construit l'année suivante, a permis d’aménager un jardin botanique, un potager d’altitude et une pépinière à proximité. Malgré la fermeture du milieu par la forêt, certaines plantes introduites à l’époque se sont maintenues jusqu’à aujourd’hui : lis des Pyrénées, grande astrance…

  • Collection de l'Hort de Dieu
    Collection de l'Hort de Dieu - © B. Algoët
    Milieu naturel

    L'acclimatation d'une espèce végétale

    Balise n° 7
    Fabre et Flahault ont poursuivi deux objectifs : l’étude de l’adaptation de certaines essences forestières au climat cévenol et l’étude des végétaux dans leur rapport avec les conditions environnementales. Certaines espèces végétales sont mieux adaptées que d’autres au climat cévenol. Ainsi, les sapins méditerranéens et le douglas s’en sortent très bien, comme globalement l’ensemble des espèces originaires d’Europe, d’Asie mineure et de l’ouest de l’Amérique du Nord. À l’opposé, les espèces d’Asie orientale et de l’est de l’Amérique du Nord dépérissent. Par son travail, le botaniste pose les bases de la phytosociologie, qui étudie l’agencement des plantes par communautés, en fonction des conditions du milieu.

  • Renouée
    Renouée - © Valère Marsaudon
    Flore

    Espèce invasive : la renouée (fallopia japonica)

    Balise n° 8
    La renouée des îles Sakhaline, tout comme la renouée du Japon, est une plante invasive : elle n’est pas dans son milieu d’origine et se développe au détriment d’autres espèces le long des routes et sur les berges de nombreux cours d’eau. Un projet de « zone test » visant la limitation de l’espèce est à l’étude à l’Hort de Dieu, poursuivant ainsi la vocation expérimentale de cet arboretum.. On tente d'empêcher la prolifération de la renouée par arrachage, destruction des rhizomes ou bâchage.

  • Stèle homage aux botanistes et forestiers
    Stèle homage aux botanistes et forestiers - © B. Algoët
    Histoire

    Histoire de botanistes

    Balise n° 9
    La particularité de ce lieu lui valut son nom de « jardin de Dieu » (Hortus Dei). Depuis le XVIe siècle, l’Aigoual permet aux botanistes de recueillir des espèces rares qui alimentent les herbiers et les relevés botaniques. Certaines espèces étaient également récoltées pour leurs vertus médicinales que l’on nommait « vertus des simples », terme retrouvé dans une carte manuscrite des Cévennes du début du XVIIIe siècle. En 1936 fut inaugurée cette stèle à la mémoire des nombreux botanistes qui ont contribué à l’avancée des sciences, sur le site de l’Hort de Dieu.

  • Observatoire du Mont Aigoual
    Observatoire du Mont Aigoual - © A. GRIFFON - Dpt30
    Patrimoine

    L'Observatoire du Mont Aigoual

    Le mont Aigoual est d’un point de vue climatique à la fois sous l’influence de l’océan Atlantique et de la Méditerranée, ce qui en fait un site particulièrement intéressant. Déjà en 1882, Georges Fabre, soutenu par le colonel (futur général) François Perrier, propose la construction d’« une station de recherches météorologiques et forestières » afin d’étudier le climat très particulier du mont Aigoual. Le projet est approuvé en 1886 et la construction durera de 1887 à 1894.

    La Commission météorologique du Gard a vu le jour en 1879. Les premières observations seront faites par des bénévoles. Ils sont dix-sept, membres de la Commission ou membres correspondants. Les observations se font deux fois par jour, à neuf heures du matin et à six heures du soir.

    Dès la fin du XIXe siècle, Georges Fabre, membre du Club cévenol fondé en 1894, veut favoriser le tourisme, alors en plein essor, dans le massif de l’Aigoual qui devient un haut lieu de loisirs, parcouru en automobile, à pied ou en skis, comme en attestent les premiers livres d’or. C’est à cette époque que sont alors construits une table d’orientation, un refuge, et enfin le Grand Hôtel.

    Cette station, aujourd’hui appelée Observatoire de l’Aigoual,  enregistre depuis 1894 des données météorologiques dont des étonnants records de rafales de vent (360 km/h en novembre 1968). L’ Observatoire de l’Aigoual est en cours de réhabilitation depuis 2019 et propose à ce jour au grand public une exposition sur le Changement climatique.

  • L'Aigoual sous la neige
    L'Aigoual sous la neige - © Météosite du Mont Aigoual
    Histoire

    Météosite de l'Aigoual

    Inaugurée en 1894, cette infrastructure constitue le dernier observatoire météorologique de montagne habité en France. Son histoire est étroitement liée au reboisement de la forêt de l'Aigoual. Il est devenu une station météo performante avec un parc à instruments moderne de test des appareils de mesures en conditions extrêmes, en même temps qu'une exposition-musée sur la météorologie. Cette exposition de 800 m2 vous en dira un peu plus sur la climatologie de L'Aigoual et plus généralement sur la météorologie.

     

  • Assise (Marie-Hélène Richard)
    Assise (Marie-Hélène Richard) - © Filature du Mazel
    Paysage

    Assise (Marie-Hélène Richard)

    Les chemins ouvrent loin des villes la voie à de nouveaux rythmes. Une autre vision de la vie ou le temps nous donne la respiration de la contemplation, des pierres, des arbres et des ciels omniprésents. Une expérience physique du face à face avec la nature. Un banc de bois et de branches dont le dossier s’affine et s’élève vers le ciel comme pour redevenir arbre.
  • Point de vue

    Vallée de l'Herault

  • Forêt de l'Aigoual
    Forêt de l'Aigoual - © Gaël Karczewski
    Histoire

    Terrain d’expérimentation pour les botanistes

    Balise n° 1
    L’Hort de Dieu situé à 1 300 mètres d’altitude est marqué par un climat extrême. Ce site d’une richesse exceptionnelle est un terrain d’étude et d’expérimentation privilégié pour les botanistes. Les collections d’arbres ayant un peu plus de 100 ans, un certain nombre d’entre eux dépérissent, soit du fait de leur grand âge, soit en raison de leur inadaptation au massif. On compte aujourd’hui 75 espèces sur les 140 testées depuis un siècle. C’est pour conserver l’intérêt de ce lieu patrimonial que l’Office national des forêts a engagé avec le Parc national des Cévennes une réflexion sur le renouvellement des collections.

  • le Pole Nature de l'Aigoual
    le Pole Nature de l'Aigoual - Béatrice Galzin
    Milieu naturel

    Pôle nature 4 saisons

    Le Pôle nature 4 saisons du massif de l’Aigoual propose un espace d’activités de pleine nature en toutes saisons, au cœur du Parc national des Cévennes, dominé par le sommet mythique du Mont Aigoual (1570m). Venez découvrir notre réseau de randonnées multi-activités (à pied, à cheval, en vélo) mais aussi en VTT ou avec un âne suivant votre envie !
    En jouant, vos enfants peuvent découvrir la course d’orientation ou le géocaching. Pour les plus sportifs, des circuits de trail, à faire au pas de course ,ont été aménagés !
    Amateurs de vélo de route, nous avons créé pour vous des circuits pour découvrir nos villages et nos vallées, avec différents niveaux de difficulté.
    Chut ! Plus un bruit ! Les passionnés de faune sauvage se sont postés pour observer les mouflons et autres animaux sauvages.
    Et si vous voulez juste faire une balade tranquille sur le massif, la voie de découverte « les balcons de l’Aigoual » est faite pour vous !  Des haltes de détente et d’information jalonnent ce parcours de 4,5 km avec seulement 150 m de dénivelé !
    Au plaisir de vous croiser sur nos chemins….
  • Arbre feuille (Alain Bernegger)
    Arbre feuille (Alain Bernegger) - © Filature du Mazel
    Flore

    Arbre feuille (Alain Bernegger)

    Les Arbres-feuilles utilisent la structure nervurée pour établir une résonance graphique entre l’arbre et la feuille. Le changement d’échelle joue comme l’écho inversé de cette structure fractale. Au changement de saison, les rameaux dénudés opposeront leur hiver à l’été éternel des Arbres-feuilles.
  • Bassin versant (Xavier Réche)
    Bassin versant (Xavier Réche) - © Filature du Mazel
    Eau

    Bassin versant (Xavier Rèche)

    Par son implantation et son nom, cette installation évoque la ligne de partage des eaux Atlantique/Méditerranée toute proche. Une « embarcation », réduite à la structure de sa charpente en suspens, sans les bordés ni le plat-bord, s’incline dans la direction des eaux de ruissellement. Elle souligne les traces des premières ramifications d’un immense réseau hydrographique.
  • Faune

    Bois de Hetre

    Le Hêtre commun, Fagus sylvatica, couramment désigné simplement comme le hêtre est une espèce d'arbres à feuilles caduques, indigène d'Europe, appartenant à la famille des Fagaceae, tout comme le chêne et le châtaignier.

    Il est l'une des principales essences constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le sapin blanc ou l'Épicéa commun.

    C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.


Description

De Prat-Peyrot, prendre D18, puis la D118 pour monter au sommet de l’Aigoual (aller-retour), puis continuer par la D18 jusqu’à Cabrillac.
1) À Cabrillac tourner à droite, direction col Salidès, par la D19. Après le Col, prendre la D907 jusqu’à St-André de Valborgne.
2) Traverser le village de St-André de Valborgne et tourner à droite par la D10, direction Valleraugue, en passant par les cols de l’Espinas et du Pas.
3) À Valleraugue, retour au col de La Serreyrède par la D986, en passant par L’Espérou, puis suivre la D269 jusqu’à Prat-Peyrot.
  • Départ : Station Prat-Peyrot
  • Arrivée : Station Prat-Peyrot
  • Communes traversées : Saint-André-de-Valborgne, Bassurels, Rousses, Gatuzières, Meyrueis, Val-d'Aigoual et Les Plantiers

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

Avant de vous engager sur un circuit, vérifiez qu'il est adapté à votre activité et à votre niveau. Respectez le code de la route et les autres usagers ; contrôlez votre vitesse et trajectoire. Faites en sorts d'être vus et, en groupe, privilégiez la file indienne. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante. Bonne route.

Lieux de renseignement

Maison du tourisme et du Parc national, Florac

Place de l'ancienne gare, N106, 48400 Florac-trois-rivières

https://www.cevennes-gorges-du-tarn.cominfo@cevennes-parcnational.fr04 66 45 01 14
La Maison du tourisme et du Parc national des Cévennes est installée dans le bâtiment renové de l'ancienne gare en bordure de la N106. C'est un espace , d’accueil, d'information et de sensibilisation sur l'offre de découverte du territoire, ainsi que sur les règles à adopter en cœur de Parc, mutualisé entre les équipes de l'office de tourisme et du Parc.
Une expo interactive présente le Parc national des Cévennes et ses actions. 

Sur place :  Une boutique, librairie découverte et  produits siglés PNC.
Ouvert toute l'année (se renseigner sur les jours et horaires en saison hivernale).
En savoir plus

Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Saint-André-de-Valborgne

les quais, 30940 Saint-André-de-Valborgne

https://www.sudcevennes.comstandredevalborgne@sudcevennes.com04 66 60 32 11

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc.

En savoir plus

Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Valleraugue

7 quartier des Horts, 30570 Valleraugue

https://www.sudcevennes.comvalleraugue@sudcevennes.com04 67 64 82 15

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animations ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc. 

Ouvert toute l'année (se renseigner pour les jours et horaires d'ouverture en période hivernale)

En savoir plus

Accès routiers et parkings

De Meyrueis ou de Valleraugue, prendre la D986 jusqu’au col de La Serreyrède puis suivre la D269 jusqu’à Prat-Peyrot.

Stationnement :

Parking Prat-Peyrot

Source

CC Causses Aigoual Cévennes Terres Solidaireshttp://www.caussesaigoualcevennes.fr/
Pôle Nature Aigoual

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