Terre de Camargue

Les 12 patrimoines à découvrir

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  Faune

  Taureaux de Camargue

  Le taureau Camargue est un animal de robe foncée, généralement noire, quelquefois brun foncé. Sa taille dépasse rarement 1,30 m pour les mâles et 1,20 m pour les femelles.
  Son poids, variant suivant son mode de nourriture, est compris entre 300 et 450 kg pour les mâles et 200 à 270 kg pour les femelles.
  La tête du taureau de « Camargue » est frappante de similitude avec celle des taureaux de race asiatique : Elle est forte avec un front étroit et déprimé.
  Les yeux gros, vifs et saillants ne sont pas recouverts de sourcils épais comme chez le taureau espagnol.
  Les cornes assez longues sont fines et noirâtres en bout, blanc crème dans la partie intermédiaire, gris foncé et fortes à la base.
  La fameuse corne en lyre, que l’on dit de type originel, se rencontre sur tous les sujets et plus fréquemment, chez les femelles

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  Histoire

  Mémorial

  Quand la passion dépasse la raison, ces deux gardians amateurs se sont noyés accidentellement le 27 Octobre 1977 lors des inondations de la même année en cherchant à sauver trois taureaux égarés.
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  Milieu naturel

  Espace Naturel Camarguais

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  Flore

  Boisement

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  Vignoble et terroir

  Histoire de l’AOC Costières

  Après la seconde guerre mondiale, les caves coopératives, dont le développement a été fulgurant, contrôlent l’essentiel de la production. Pour le ministre de l’Agriculture de l’époque, il est temps de restructurer les organisations professionnelles viticoles. Il charge alors Philippe Lamour, brillant avocat parisien, résistant notoire et propriétaire dans les Costières de Nîmes, de cette mission. Cet homme, en collaboration avec le baron Le Roy va devenir un personnage incontournable de la viticulture régionale et marquer à jamais l’identité de la future AOC Costières de Nîmes. Il est à l’origine des VDQS (vins délimités de qualité supérieure), qu’il met en place dès 1945. En 1989, l’appellation change de nom et devient Costières de Nîmes. Aujourd’hui, l’engouement suscité par ses vins, notamment chez les Nîmois, en fait une valeur montante des vignobles de la Vallée du Rhône.
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  Vignoble et terroir

  Les costières de Nîmes et vue sur le Pic Saint Loup en toile de fond

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  Faune

  Chevaux Camarguais

  Selon la période de l'année vous pourrez admirer dans les enclos sur votre gauche des magnifiques chevaux camarguais ! Race de chevaux emblématique de la région.

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  Vignoble et terroir

  Cave Gallician Signature

  Cave de Gallician

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  Flore

  Roseliere de Camargue

  Avec 5 000 ha, les roselières de Camargue sont les plus vastes de France. Si la coupe du roseau vert, comme fourrage d’été, est pratiquée dès le Moyen-Age, elle s’effectue aujourd’hui essentiellement sur le roseau sec de mi-novembre à fin mars. La coupe manuelle au « sagnadou » , minime aujourd’hui, a laissé place à une exploitation mécanique à grande échelle. Avec 2 000 ha coupés, et un million de bottes par an, la Camargue assure les trois quarts de la production française dont la très grande majorité vient des marais de petite Camargue (Charnier, Scamandre) dans le Gard.

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  Histoire

  Canal du Rhône à Sète

  Vous longez le canal du Rhône à Sète, petite histoire :
  Pour affranchir le commerce entre le Rhône et Sète de la navigation sur le Petit-Rhône, les États de Languedoc décident de construire un canal entre Beaucaire et Aigues-Mortes, en 1773, sur un projet d'Isaac Étienne Grangent, directeur des travaux publics de la province du Languedoc. Son fils, Stanislas-Victor Grangent, a suivi la fin de la construction du canal après sa nomination comme ingénieur en chef des ponts et chaussées du département du Gard, en 1798. Ce canal permet de prolonger le canal du Midi. Il est alors appelé Canal des Étangs car il traverse les étangs palavasiens dans leur partie Sud.
  
  Les travaux commencent en 1778, le canal est ouvert au commerce en 1811 et les travaux sont définitivement terminés en 1828.
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  Patrimoine

  Le Canal du Rhône à Sète

  Le canal du Rhône à Sète relie Beaucaire sur le Rhône à l'étang de Thau à la hauteur de Sète. Au-delà de l'étang de Thau, il est prolongé par le canal du Midi. Le canal est considéré à grand gabarit par Voies navigables de France qui en a la gestion14.

  Il sert également, à la navigation de plaisance avec des péniches touristiques, et permet à certaines associations la pratique de l'aviron (à Sète, à Palavas, à Carnon, à Saint-Gilles, à La Grande-Motte).
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  Histoire

  La Tour Carbonnière

  La Tour Carbonière fut construite sur la fin du XIIIème siècle, en même temps que les remparts d'Aigues Mortes. Les pierres employées, taillées en bossage, provenaient de la même carrière.

  De forme carrée, enjambant la route, avant-garde et gardienne de la place forte, la Tour Carbonnière s’élève majestueuse et solitaire au milieu des marais. Les moines de Psalmodi devinrent les premiers gardiens de la tour à cause du voisinage. Ils veillèrent à son entretien et à sa conservation. Ils retirèrent un droit de péage. Ce droit devait fournir de gros revenus quand on pense que la tour, construite au bout d’une longue chaussée reposant sur une série de ponts, était le seul passage pour se rendre à Aigues-Mortes par voie de terre. Impossible aux voyageurs de l’éviter, la route carrossable passant au milieu du monument par une grande porte ouverte à tous les vents.
  
  L'accès au sommet est libre vous permettant de profiter du point de vue sur les marais environnants.