La vallée du Bonheur
FFRandonnée Gard
Saint-Sauveur-Camprieu

La vallée du Bonheur

Eau et géologie
Faune et flore
Milieu naturel
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Située entre une colline de pâturage et une forêt, la vallée du bonheur, nom du cours d’eau qui la traverse, offre une belle découverte du patrimoine et de l’histoire des lieux.
Située entre une colline de pâturage et une forêt, la vallée du bonheur, nom du cours d’eau qui la traverse, offre une belle découverte du patrimoine et de l’histoire des lieux.

Les 24 patrimoines à découvrir

  • Camprieu
    Camprieu - nathalie.thomas
    Histoire

    Camprieu

    Au XIXe siècle, les rues du village étaient animées toute l'année par un petit peuple d'artisans, d'ouvriers et de commerçants, qui vivaient dans ces humbles maisons de montagne, propices à l'élevage. Camprieu comptait donc : 2 cordonniers, 6 sabotiers, 2 vanniers, 1 menuisier, 2 charrons, 2 maréchaux ferrants, 1 minotier, 2 tailleurs de pierres, une verrerie, une scierie, une laiterie, deux épiceries, mercerie et quincaillerie et une boutique pour les dames à l'enseigne « modes et robes ». Il y avait également une cave qui fabriqua du Roquefort jusqu'en 1932, un hôtel et une auberge.
  • Perte du Bonheur
    Perte du Bonheur - nathalie.thomas
    Eau

    Le ruisseau du Bonheur

    Le site de Bramabiau est un exemple de résurgence. Ici, un peu à l'est de Camprieu, le ruisseau du Bonheur perfore le Causse et disparaît dans un tunnel naturel. On le retrouve à l'air libre au fond de l'Aven de Balset mais il se tord vers le sud pour disparaître à nouveau sous terre. Le ruisseau parcourt en sinuant plus de 10 km de galeries souterraines. Mais à 700 m à l'horizontale de sa perte, il resurgit ! Les parois du canyon qui l'enserre démultiplient le son de ses flots et ajoutent à ses grondements des vibrations acoustiques proches d'un mugissement phénoménal. Ce n'est plus le Bonheur tranquille, c'est le tumultueux Bramabiau.

  • Col de la croix de fer
    Col de la croix de fer - nelly Carel
    Histoire

    Col de la Croix de Fer

    Au col de la Croix de Fer, croisement stratégique de plusieurs voies, une auberge-relais d’affenage accueillait les voyageurs. Cette magnifique ruine avec ses deux voûtes imposantes était aussi une importante ferme, propriété du baron de Roquedols. Elle se situe à la limite des communes de Meyrueis et de St Sauveur-Camprieu sur le tracé du « Camin Ferrat » et de la route Royale. Au temps des persécutions religieuses, le prédicant François Vivens* organisait des assemblées protestantes clandestines dans le vallon juste en contrebas des bâtiments.  (*Vivens a été tué en 1692, 10 ans avant la guerre des Camisards)
  • Zone humide
    Zone humide - Béatrice Galzin
    Eau

    Zone humide

    Écoute ! On entend de l’eau !
    Au-dessus du chemin, l’eau s’écoule doucement... C’est une zone humide, un espace fragile à protéger. La tourbière est constituée de joncs, de laîches et de nombreuses mousses, comme la sphaigne. Une grande quantité d’insectes y logent, comme le criquet ensanglanté et des libellules, ainsi que la grenouille rousse. Ici, si nous ne faisons pas de bruit, nous pouvons entrevoir des biches et d’autres animaux qui viennent se rafraîchir…
  • Route Royale
    Route Royale - Béatrice Galzin
    Histoire

    Des chanoines à la route Royale

    Avez-vous remarqué que nous étions sur un très ancien chemin ?
    Replongeons-nous dans l’histoire… Vers l’an mille, cette route appelée « Camin Ferrat » était utilisée par les transhumants, les pèlerins et les marchands entre Meyrueis et le Vigan. Son tracé partant du Vigan passait à Mandagout, l'Espérou, le col de la Serreyrède et descendait par l'abbaye du Bonheur pour remonter à la Croix de Fer avant d’atteindre Meyrueis. Cette importante voie muletière permettait des échanges entre la Méditerranée et le Massif Central. Le baron de Roquefeuil, seigneur de la région, aménagea une abbaye en contrebas, dans la vallée du Bonheur, pour secourir les voyageurs perdus dans la montagne. A la fin du XIe siècle, il fonda une communauté religieuse de 6 chanoines qui assuraient des offices et qui, par mauvais temps, sonnaient la « cloche des égarés » à heures régulières pour guider les passants en péril. L’abbaye fût abandonnée en 1790.  Au XVIIIe siècle, le « Camin Ferrat » fut délaissé au profit de la route Royale que nous suivons depuis le col de la Caumette jusqu’à Meyrueis. Ce nouveau tracé passait au col de la Serreyrède et continuait jusqu'au col de la Caumette pour suivre ensuite les crêtes. Ce mur que nous longeons entre la Caumette et la Croix de Fer est-il un vestige de la route Royale ? Ou bien la limite du domaine de l’abbaye du Bonheur ? Le secret reste entier, nos ancêtres seulement connaissent cette histoire…
  • Col de la Caumette
    Col de la Caumette - nathalie.thomas
    Histoire

    La route du sel

    La Caumette se trouve sur une ancienne route du sel. De l'antiquité à nos jours, le sel fut une marchandise précieuse, servant à la conservation des aliments et au tannage des peaux. Le sel a toujours fait l'objet de commerce et de taxes lors de son transport entre le littoral méditerranéen et l'intérieur des terres.La guérite au col, bâtie au XVIe ou XVIIe siècle, fut construite sur une de ces routes à la jonction stratégique de plusieurs chemins, pour la perception de la "gabelle" et la surveillance de la contrebande.
  • Chemin dans la forêt
    Chemin dans la forêt - Michel Monnot
    Milieu naturel

    Le hêtre et la forêt de l’Aigoual

    Le hêtre constitue la principale essence de la forêt de l’Aigoual, riche par ailleurs de nombreuses espèces adaptées à la diversité des sols et des expositions du massif. Comme chez la plupart des feuillus, lorsqu’on coupe le hêtre, la souche émet de nombreuses nouvelles tiges ou « rejets ». Le forestier sélectionne alors les meilleures pour du bois d’œuvre qui sera transformé en meubles, et exploite les autres en bois de chauffage. En vieillissant, il peut atteindre des dimensions remarquables, comme le hêtre de la forêt du Suquet sur la commune de Camprieu, souvenir de la forêt initiale qui a traversé les siècles, avec 6 mètres de circonférence et 25 mètres de hauteur !
  • Le pic noir
    Le pic noir - Jean-Pierre.Malafosse
    Faune

    Pic noir

    Le plus grand de nos pics, le Pic noir est réapparu sur le massif en 1936. Agrippé au bois et en appui sur sa queue très rigide, il creuse dans le tronc d'un hêtre de bon diamètre (plus de 30 cm) la "loge" dans laquelle il se reproduira .Elle doit être située à plus de six mètres du sol, son entrée ovale faisant face à un espace dégagé pour un envol facile. La nourriture doit se trouver en abondance: fourmilières, résineux morts ou malades que le Pic noir crible de trous pour en extraire des larves; des pommes de pin ou d'épicéas qu'il coince dans ces trous pour en extraire les graines. Peut- être entendrez vous son cri, un "trrruuu, trrruuu" puissant !

  • Point de vue

    La lozere pour Horizon

  • L'Orée (Yoann Crépin)
    L'Orée (Yoann Crépin) - © Filature du Mazel
    Savoir-faire

    L'Orée (Yoann Crépin)

    Une porte, l’ouverture vers un parcours d’art dans la nature.
    Fusionner et interagir avec l’environnement pour jouer avec les saisons, le temps, la lumière et l’apesanteur. Laisser l’homme s’exprimer à travers la nature et laisser la nature s’exprimer à travers l’homme, une interaction nécessaire, une imprégnation fusionnel qui inspire la découverte d’un autre monde.
  • Les îlots de sénescence
    Les îlots de sénescence - © Valère Marsaudon
    Milieu naturel

    Îlot de sénéscence

    Les îlots de sénescence sont des zones de protection au milieu de zones de production. Répartis sur l’ensemble du massif forestier exploité, ils permettent une libre évolution de la forêt. L’apparition progressive de bois mort, d’arbres de grande dimension présentant des cavités ou autres « micro-habitats » favorise l’installation de tout un cortège d’espèces spécifiques. : insectes saproxyliques (mangeurs de bois mort) et champignons mais aussi oiseaux et mammifères.
  • Tulipes sauvages
    Tulipes sauvages - Gaël Karczewski
    Milieu naturel

    A la lisière

    Cette clairière appartient aux milieux ouverts. Ces milieux lumineux abritent de nombreuses espèces (fleurs, papillons sauterelles…) Certaines d’entre-elles sont même spécifiques aux lisières, « interfaces » entre forêts et clairières. Ainsi la préservation de milieux ouverts, en régression sur le massif, constitue un enjeu important pour la biodiversité.

  • La Serreyrède
    La Serreyrède - nathalie.thomas
    Eau

    Frontière climatique

    Le col constitue aussi une frontière climatique. Quand le versant atlantique, sous vent d'ouest dominant, est arrosé par les pluies assez réparties dans l'année, le versant méditerranéen, plus sec et chaud, oppose au vent de sud-est (le « marin ») qui souffle parfois, une barrière massive obligeant l'air humide à s'élever brusquement. L'eau des nuages se condense alors, ce qui donne parfois lieu aux « épisodes cévenols », où des trombes d'eau s'abattent (600 mm en 24h) provoquant des crues catastrophiques. L'Aigoual, Mt Aigualis, le pluvieux (A. Bernard) porte bien son nom ! Après la Savoie, c'est l'endroit le plus arrosé de France.
  • Ligne de partage des eaux
    Ligne de partage des eaux - nathalie.thomas
    Géologie

    La ligne de partage des eaux

    Le relief actuel crée une frontière entre Atlantique et Méditerranée : selon le versant, les eaux coulent vers la mer ou vers l'océan. Ceci est dû au soulèvement du seuil Cévenol, provoqué par l'activité de la faille des Cévennes longeant le Languedoc. Ce seuil marque la frontière géographique par le contraste entre le versant nord-ouest, verdoyant au relief atténué, et le versant sud-et, abrupt où l'érosion est toujours puissante vers des altitudes rapidement très basses en Languedoc.
  • Histoire

    Georges Fabre

    Polytechnicien, sorti major de sa promotion de l’École forestière de Nancy, le forestier Georges Fabre va pendant trente ans consacrer son énergie aux reboisements des montagnes de la Lozère et du Gard, dans le but de stabiliser les sols mais aussi de fournir du travail à une population qui était toute entière condamnée à l’exode rural. Il est à l’initiative de la construction de l’Observatoire de l’Aigoual en 1894. En s’associant au Club cévenol et au Club alpin français, il a engagé les prémices d’un « tourisme patrimonial » (création du Grand Hôtel de l’Aigoual, construction d’un abri et installation d’une table d’orientation au sommet de l’Aigoual, etc.) qui se perpétue aujourd’hui.

  • Boutique des producteurs
    Boutique des producteurs - © Nathalie Thomas
    Agriculture

    Association "Terres d'Aigoual"

    Le Parc national des Cévennes loue une partie du bâtiment à l'association  permettant aux agriculteurs locaux d'écouler leurs produits en vente directe. Elle regroupe des agriculteurs souhaitant mieux valoriser leur production et partager leur savoir faire. Ils ont envie aussi de faire partager leur vision de l'agriculture:

    - qualité dans leurs productions,

    - exploitation de taille humaine,

    - entraide.

    Venez découvrir leurs produits !

     

  • Maison forestière de la Serreyrède
    Maison forestière de la Serreyrède - © Jacques de Joly
    Agriculture

    La Serreyrède

    Avant 1861, la maison au col de la Serreyrède est habitée par deux familles de paysans. Ils avaient quelques bêtes et cultivaient un jardin potager, dont on retrouve les terrasses au dessus de la piste de la Caumette. À partir de 1861 la ferme est habitée par un garde forestier. Ce n’est qu’en 1883 qu’elle est rachetée par les Eaux et Forêts pour en faire une maison forestière. Ce fut d’ailleurs l’un des quartiers généraux du forestier George Fabre lors du reboisement de l’Aigoual. Aujourd’hui, le Parc national des Cévennes, l’Office du Tourisme et l’association « Terres d’Aigoual » se sont associés pour faire revivre la Serreyrède, avec l’aide de la Communauté de Communes Causses Aigoual Cévennes – Terres solidaires.

  • Milieu naturel

    Futaie irrégulière

    Ce peuplement forestier comporte des arbres très divers par leur diamètre, leur hauteur et leur âge. Les essences sont mélangées : le sapin domine, mais le hêtre est aussi présent, ainsi que le sorbier des oiseleurs et l’alisier blanc. On parle dans ce cas d’une « futaie irrégulière ». Cette orientation forestière a plusieurs intérêts : pérennité du couvert forestier, résistance à l’érosion des sols, meilleure résistance vis-à-vis des tempêtes ou des attaques de parasites, régularité de la production… Dans la petite clairière sur la gauche du sentier, avec la lumière qui arrive au sol, la régénération naturelle du hêtre et du sapin s’installe : le renouvellement de la forêt est assuré.

  • Histoire

    Du taillis à la futaie de hêtres

    Balise n° 1
    Vers 1850, avant le reboisement, les cévenols  utilisent massivement la ressource en bois pour le chauffage et l’industrie, notamment dans les filatures. Peu à peu, ne subsistent que quelques taillis de hêtre, coupés tous les 25 à 40 ans. De plus, le pâturage de dizaines de milliers de brebis réduit encore le tapis herbacé. Ce couvert végétal très fragilisé subit aussi le flot d’importantes précipitations : les épisodes cévenols. C’est dans ce contexte que va commencer le long travail des forestiers. Pour diminuer les risques et réinstaller un couvert forestier durable, la première technique possible est de partir de l’existant, et de convertir les taillis « ruinés » en futaies.

  • La chouette de tengmalm
    La chouette de tengmalm - Gaël.Karczewski
    Faune

    La chouette de Tengmalm

    Les loges de pic abandonnées sont une aubaine pour de petits mammifères et d’autres oiseaux comme la chouette de Tengmalm. Une chouette nordique venue s'installer à huit cent mètres d’altitude. Discrète, elle se cantonne au cœur des massifs forestiers. Elle est repérable à son chant sonore et doux en mars. Pour favoriser le maintien de cette espèce, le Parc national des Cévennes et l'Office national des forêts préservent les arbres à loges des coupes et la vieille forêt.
  • Savoir-faire

    Forêt de production

    Balise n° 2
    Une autre technique pour obtenir un couvert forestier pérenne est la plantation ou le semis. Ce travail s’opère soit sur terrain nu, soit dans les peuplements existants. Lors des programmes de reboisement, la tâche fut gigantesque, nécessitant 900 000 journées de travail, la plantation de 60 millions de résineux et 7 millions de feuillus, et le semis de 38 tonnes de graines ! L’épicéa et les pins, qui supportent la plantation en pleine lumière et poussent assez vite, furent largement utilisés. Le sapin a été préféré sous couvert forestier.

  • Drosera rotundifolia
    Drosera rotundifolia - © Bruno Descaves
    Milieu naturel

    Molière du Trévezel

    Balise n° 3
    Une tourbière est un matelas de matière végétale, peu ou pas décomposée du fait de l’accumulation d’eau et de l’acidité du sol sous climat froid. Ce milieu humide n’a pratiquement pas changé depuis plusieurs siècles. Appelés autrefois molières, soulages, sagnes ou fangas, ces espaces ont longtemps été dénigrés. Souvent « assainis », on comprend aujourd’hui tout l’intérêt de leur conservation. Les tourbières accueillent de nombreuses espèces plus ou moins spécifiques, comme cette petite plante carnivore, la droséra.

  • L'Abbaye de Notre-Dame-du-Bonheur
    L'Abbaye de Notre-Dame-du-Bonheur - nathalie.thomas
    Histoire

    Notre-Dame-du Bonheur

    Ce monastère roman fut bâti au XIe et XIIe siècle par le riche seigneur de Roquefeuil et Mandagout, dans la noble intention d'en faire un « hôpital pour les pauvres ». Il accorda aux religieux la jouissance des fruits et des revenus du terroir. Pour cela, les villageois des alentours étaient redevables de moutons, de porcs, de volailles, de vin et de fromage. Le seigneur tirait aussi des redevances de pacage des troupeaux transhumants sur son vaste domaine. La voie qui passait par cette tourbière reliait le Languedoc au Gévaudan. Une cloche de tourmente de 200 kg sonnait dans le brouillard et les bourrasques de neige pour signaler ce lieu aux marchands, colporteurs, chemineaux, paysans... Il y avait 6 chanoines dont le dernier fut obligé de partir à la Révolution. L'association de sauvegarde de l'Abbaye Notre-Dame du Bonheur » œuvre à sa restauration.
  • Roitelet huppé
    Roitelet huppé - Bruno.Descaves
    Faune

    Le roitelet huppé

    La traversée du bois peut vous donner l'occasion d'entendre le timide zézaiement du roitelet huppé, inféodé aux résineux. Mais savez-vous d'où vient son nom ?
    Son nom latin est Régulus régulus, le petit roi. A l'origine de la tradition celtique, le plus petit oiseau est le druide du monde aviaire. Dans la langue celte bretonnante et galloise du premier siècle, un même mot désigne le druide et le roitelet.
    Une deuxième raison de porter de titre ? Quand il est amoureux, le roitelet huppé dresse les plumes dorées soulignées de noir qu'il a sur la tête, à la manière d'une petite couronne.


Description

Le long de l'itinéraire, des poteaux directionnels vous guident. Le nom de lieu-dits et/ou de direction à suivre est indiqué en italique gras et entre guillemets. Suivez le descriptif ci-dessous :

D - Au poteau « Camprieu-Parking », suivre le GR® 62 vers « La Baraque Vieille ». À « Camprieu-Le Cros », prendre successivement les directions de « Le Plan d’eau », puis de « Pont du Bonheur », et enfin de « La Baraque Vieille ». Au second poteau du même nom, « Pont du Bonheur », poursuivre à droite par la route vers « Le Devois ». Au poteau « Le Devois », continuer jusqu’au poteau « La Baraque Neuve ». Gagner 900 m plus loin « La Baraque Vieille ». Continuer et, à la patte-d’oie, monter à gauche par un chemin caillouteux.
  1. Arriver à un portail [> accès aux vestiges de l’abbaye Notre-Dame-du-Bonheur ; 1,3 km aller-retour] dans une boucle. Continuer le chemin montant. Au poteau « Bonahuc », emprunter la patte-d’oie à gauche et suivre le GR® 62.
  2. Bifurquer à droite, puis grimper sur 170 m jusqu’au poteau « Du Bonheur ». Prendre la piste à gauche en direction de « Col de la Serreyrède » et prolonger sur un sentier. Aux escaliers (marches en bois), monter jusqu’au grand carrefour de la maison du tourisme et du Parc National des Cévennes de l’Aigoual.
  3. Au premier poteau « La Serreyrède », aller vers « Prat Peyrot ». > Jonction avec les GR® 7, 60 et 66.
    Au deuxième poteau du même nom, poursuivre par la piste montante bordée de hêtres, en direction de « Le Fangas ». À « Le Fangas », suivre encore « Prat Peyrot », continuer, et dépasser les équipements et pistes de ski alpin.
  4. À « Prat Peyrot-Station », emprunter à gauche le GR® 6 vers « Les Fayards ». Suivre la piste et atteindre le poteau au bout d'1,5 km. 500 m plus loin, au « Col de la Caumette », aller vers la « Croix de Fer » et, à la patte-d’oie, tourner à gauche sur le GR® 6. Au carrefour d'après, quitter l'axe principal, prendre à droite le petit sentier descendant, traverser la piste et poursuivre en face. Au croisement suivant, retraverser la piste et continuer sur la même voie. À la jonction avec une piste, virer à gauche  jusqu’au carrefour des GR® 6 et 66A. Trouver le poteau « La Croix de Fer » au-dessus du carrefour.
    > Séparation avec le GR® 6.
  5. Virer à gauche sur le GR® 66A. Descendre à gauche par la route goudronnée jusqu’au poteau « L’Aubespi ». Bifurquer à droite en direction de « Perte du Bonheur », franchir la D 986, puis prendre en face le chemin de l’Aubespi jusqu’au poteau « Perte du Bonheur ». Tourner à gauche, passer devant la « Perte du Bonheur ». La rivière se perd dans un gouffre pour en ressortir quelques centaines de mètres en aval. Continuer le chemin, traverser la route et prendre en face le chemin de l’Aubespi jusqu’au poteau « Mairie ». Poursuivre 100 m en face et obliquer à gauche pour rejoindre le poteau « Camprieu-Parking ».


Parcours issu du topoguide départemental Le Gard à Pied (édition FFRandonnée - 2024) et du cartoguide de la collection départementale Espaces Naturels Gardois"Massif de l'Aigoual"
  • Départ : Camprieu parking
  • Arrivée : Camprieu parking
  • Communes traversées : Saint-Sauveur-Camprieu, Meyrueis et Val-d'Aigoual

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

Attention! Vous êtes en montagne: face à cet environnement à risque, votre équipement et votre comportement doivent être adaptés. Soyez vigilants et particulièrement avec des enfants.

Prévoir suffisamment d'eau pour l'ascension.
En coeur de parc
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour

Transport

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Sinon, pensez au covoiturage !


Accès routiers et parkings

Camprieu à 37 km au nord du Vigan par les D 999, D 48 (col du minier) et D 986

Stationnement :

Parking du Gymnase

Source

Département du Gard
En collaboration avec la FFRandonnée du Gardhttps://gard.ffrandonnee.fr/

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